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Voici le sujet du bac de français 2013 pour les séries S et ES (métropole).
C’est l’objet d’étude roman qui est tombé ( Le personnage de roman du XVIIème siècle à nos jours).
Le corpus était constitué de trois textes :
♦ Texte A : Colette, Sido, 1930
♦ Texte B : John Steinbeck, Les raisins de la colère, 1939
♦ Texte C : Jean Giono, Un roi sans divertissement, 1947
Question sur corpus (4 points) :
Quelles sont les caractéristiques des figures maternelles dans les textes du corpus ?
Travail d’écriture (16 points) :
Dissertation :
Le romancier doit-il nécessairement faire de ses personnages des êtres extraordinaires ? Vous répondrez à la question en vous fondant sur les textes du corpus ainsi que sur les textes et oeuvres que vous avez étudiés et lus. Cliquez ici pour lire un corrigé rédigé de cette dissertation.
Commentaire littéraire :
Vous commenterez le texte de Jean Giono (texte C).
Ecriture d’invention :
Le regard que porte la narratrice du texte A sur sa mère fait de cette dernière un personnage fascinant. Comme Colette et en vous inspirant des autres textes du corpus, vous proposerez le portrait d’un être ordinaire qui, sous votre regard, prendra une dimension extraordinaire.
Les textes (Bac de français 2013 S et ES) :
Texte A – Colette, Sido, 1930
La narratrice, dont la famille habite en province, évoque le souvenir de sa mère, revenant de l’un de ses séjours à Paris.
Elle revenait chez nous lourde de chocolat en barre, de denrées exotiques et d’étoffes en coupons, mais surtout de programmes de spectacles et d’essence à la violette, et elle commençait de nous peindre Paris dont tous les attraits étaient à sa mesure, puisqu’elle ne dédaignait rien.
En une semaine elle avait visité la momie exhumée, le musée agrandi, le nouveau magasin, entendu le ténor et la conférence sur La Musique birmane. Elle rapportait un manteau modeste, des bas d’usage, des gants très chers. Surtout elle nous rapportait son regard gris voltigeant, son teint vermeil que la fatigue rougissait, elle revenait ailes battantes, inquiète de tout ce qui, privé d’elle, perdait la chaleur et le goût de vivre. Elle n’a jamais su qu’à chaque retour l’odeur de sa pelisse en ventre-de-gris1, pénétrée d’un parfum châtain clair, féminin, chaste, éloigné des basses séductions axillaires2, m’ôtait la parole et jusqu’à l’effusion.
D’un geste, d’un regard elle reprenait tout. Quelle promptitude de main ! Elle coupait des bolducs3 roses, déchaînait des comestibles coloniaux, repliait avec soin les papiers noirs goudronnés qui sentaient le calfatage4. Elle parlait, appelait la chatte, observait à la dérobée mon père amaigri, touchait et flairait mes longues tresses pour s’assurer que j’avais brossé mes cheveux… Une fois qu’elle dénouait un cordon d’or sifflant, elle s’aperçut qu’au géranium prisonnier contre la vitre d’une des fenêtres, sous le rideau de tulle, un rameau pendait, rompu, vivant encore. La ficelle d’or à peine déroulée s’enroula vingt fois autour du rameau rebouté5, étayé d’une petite éclisse6 de carton. Je frissonnai, et crus frémir de jalousie, alors qu’il s’agissait seulement d’une résonance poétique, éveillée par la magie du secours efficace scellé d’or…
1 Pelisse en ventre-de-gris : manteau en fourrure de ventre d’écureuil.
2 Axillaire : qui vient des aisselles. Colette évoque les odeurs de sueur.
3 Bolduc : ruban.
4 Calfatage : traitement des coques des navires avec du goudron pour les rendre étanches.
5 Rebouté : réparé.
6 Éclisse : plaque servant à étayer, c’est-à-dire à soutenir, un membre fracturé.
Texte B – John Steinbeck, Les Raisons de la colère, 1939
Tom Joad est de retour chez lui. Il retrouve sa famille, son père, le vieux Tom, ses grands-parents, ses frères et sœurs plus jeunes ainsi que sa mère, Man, décrite dans l’extrait suivant.
Elle regardait dans le soleil. Nulle mollesse dans sa figure pleine, mais de la fermeté et de la bonté. Ses yeux noisette semblaient avoir connu toutes les tragédies possibles et avoir gravi, comme autant de marches, la peine et la souffrance jusqu’aux régions élevées de la compréhension surhumaine. Elle semblait connaître, accepter, accueillir avec joie son rôle de citadelle de sa famille, de refuge inexpugnable1. Et comme le vieux Tom et les enfants ne pouvaient connaître la souffrance ou la peur que si elle-même admettait cette souffrance et cette peur, elle s’était accoutumée à refuser de les admettre. Et comme, lorsqu’il arrivait quelque chose d’heureux ils la regardaient pour voir si la joie entrait en elle, elle avait pris l’habitude de rire même sans motifs suffisants. Mais, préférable à la joie, était le calme. Le sang-froid est chose sur laquelle on peut compter. Et de sa grande et humble position dans la famille, elle avait pris de la dignité et une beauté pure et calme. Guérisseuse, ses mains avaient acquis la sûreté, la fraîcheur et la tranquillité ; arbitre, elle était devenue aussi distante, aussi infaillible qu’une déesse. Elle semblait avoir conscience que si elle vacillait, la famille entière tremblerait, et que si un jour elle défaillait ou désespérait sérieusement, toute la famille s’écroulerait, toute sa volonté de fonctionner disparaîtrait.
Texte C – Jean Giono, Un roi sans divertissement, 1947
Mme Tim est la femme du châtelain de Saint-Baudille. Autour d’elle s’organisent des fêtes familiales dont le narrateur garde le souvenir.
[…] Mme Tim était abondamment grand-mère. Les filles occupaient aussi des situations dans les plaines, en bas autour.
À chaque instant, sur les chemins qui descendaient de Saint-Baudille on voyait partir le messager et, sur les chemins qui montaient à Saint-Baudille, on voyait monter ensuite des cargaisons de nourrices et d’enfants. L’aînée à elle seule en avait six. Le messager de Mme Tim avait toujours l’ordre de faire le tour des trois ménages et de tout ramasser.
C’étaient, alors, des fêtes à n’en plus finir : des goûters dans le labyrinthe de buis1; des promenades à dos de mulets dans le parc ; des jeux sur les terrasses et, en cas de pluie, pour calmer le fourmillement de jambes de tout ce petit monde, des sortes de bamboulas2 dans les grands combles3 du château dont les planchers grondaient alors de courses et de sauts, comme un lointain tonnerre.
Quand l’occasion s’en présentait, soit qu’on revienne de Mens (dont la route passe en bordure d’un coin de parc), soit que ce fût pendant une journée d’automne, au retour d’une petite partie de chasse au lièvre, c’est-à-dire quand on était sur les crêtes qui dominent le labyrinthe de buis et les terrasses, on ne manquait pas de regarder tous ces amusements. D’autant que Mme Tim était toujours la tambour-major4.
Elle était vêtue à l’opulente d’une robe de bure5, avec des fonds énormes qui se plissaient et se déplissaient autour d’elle à chaque pas, le long de son corps de statue. Elle avait du corsage et elle l’agrémentait de jabots de linon6. À la voir au milieu de cette cuve d’enfants dont elle tenait une grappe dans chaque main, pendant que les autres giclaient autour d’elle, on l’aurait toute voulue. Derrière elle, les nourrices portaient encore les derniers-nés dans des cocons blancs. Ou bien, en se relevant sur la pointe des pieds et en passant la tête par-dessus la haie, on la surprenait au milieu d’un en-cas champêtre, distribuant des parts de gâteaux et des verres de sirop, encadrée, à droite, d’un laquais (qui était le fils Onésiphore de Prébois) vêtu de bleu, portant le tonnelet d’orangeade et, à gauche, d’une domestique femme (qui était la petite fille de la vieille Nanette d’Avers), vêtue de zinzolins7 et de linge blanc, portant le panier à pâtisserie. C’était à voir !
1 Buis : arbuste.
2 Bamboula : fête.
3 Combles : espaces compris entre le dernier étage de la demeure et le toit.
4 Tambour-major : grade militaire (sous-officier qui commande les tambours et les clairons d’un régiment) donné ici, de façon plaisante, à Mme Tim qui commande tout.
5 Bure : étoffe de laine brune.
6 Jabots de linon : ornements de tissu qui s’étalent sur la poitrine.
7 Zinzolins : tissus d’un violet rougeâtre.
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salut je viens de m’inscrtit sur le site moi je suis en tleA et je voudrais que vous m’aidez a ma m’améliorer en commentaire compose et dissertation en français bien sur merci
j’attend avec patience votre reponse
Bonjour Amélie,
Je me permets de vous écrire un commentaire pour vous poser la question suivante : Comment faire pour donner un « nom » ou une « identité » à nos deux ou trois parties ?
Pour peut-être mieux expliquer cette question, je vais me prendre comme exemple dans l’épreuve de Français au Bac de cette année. Comme beaucoup de monde, j’ai décidé de prendre le commentaire sur « Un Roi sans divertissement » (1947) de Jean Giono.
J’ai décidé de « m’étaler » principalement sur l’image de Mme Tim avec dans l’esprit de montrer que c’était une femme avenante, un pilier familial ainsi qu’une femme directrice. Mais en aucun cas, je n’ai pu trouvé de nom à mon I) ou mon II). Outre le fait que je pouvais avoir les procédés stylistiques intéressants.
D’après mes résultats peu enthousiastes, j’ai décidé de repasser les épreuves anticipées du Bac l’année prochaine, en classe de terminale. Et pour ne pas refaire cette erreur, j’aurai voulu savoir comment est-ce que je pourrai m’en sortir dans cette situation, où je ne trouve pas de « nom » à mes parties.
De plus, j’aurai aimé avoir votre avis sur la problématique que j’ai adressé au commentaire : Par quels moyens, l’auteur montre-t-il les sentiments de l’auteur ?
Dans l’attente d’une réponse, en vous remerciant.
Bonjour Florian,
Ta problématique n’est pas claire car tu as confondu auteur et narrateur. Les titres de tes axes de lecture sont les idées directrices qui te permettent de répondre à la problématique. Il doit par ailleurs y avoir un lien logique entre le titre de l’axe et les sous-arguments développés dans l’axe. Par exemple :
I – Mme Tim : une femme hors du commun
A – Un pilier familial
B – Une femme directrice
==> Mme Tim est une femme hors du commun parce qu‘elle est un pilier familial et parce qu‘elle est une femme directrice et autoritaire.
Bonjour, moi j’ai très peur d’avoir fais un hors sujet en parlant du surréalisme pour le corpus et le commentaire..
Ah mais la j’me suis planté la . Pour le commentaire à un moment j’ai dit que c’était une scène absurde . Jvai jamais avoir la moyenne .
Bonsoir Amélie , tout d’abord je tiens a vous remercier pour toutes vos vidéos qui m’ont beaucoup aidé cette année .
je suis en ES et j’ai donc passé mon écrit de Francais , et j’aurais une question à vous poser car j’ai peur d’avoir été HS..
j’ai d’abord fais mon intro puis ma problématique était : comment Mme Tim s’y prend elle pour sortir de l’absurde ? ( et c’est la que j’ai peur d’avoir pris un risque un peu inutile… et HS )
mon dévellopment est composé de :
I a – une descripition réaliste avec une hierarchisation sociale
I b – description de la femme
II a – un monde lié a l’amusement ( a la limite du merveilleux )
II b – le monde de Mme Tim semblable au jardin d’Eden..
pour finir en conclusion j’ai donc dis que dans cette période ou la France est en deuil et se reconstruit , Mme Tim tentais de sortir de l’absurde en donnant du sens a ce qu’elle fait , en amusant les enfants par exemple etc…
voila désolé d’avoir été un peu long j’espère que vous pourrez me répondre bientôt , merci d’avance
Bonjour Lucho,
Ta problématique n’est effectivement pas pertinente. Néanmoins, ton plan est intéressant, ce qui pourra reléguer ta problématique sur un plan un peu plus anecdotique.
Bonsoir Amélie, je me demandais dans le commentaire, j’ai exploité une piste un peu éloigné.
J’ai d’abord fais une partie sur Mme Tim puis j’ai montrer qu’elle rejette les vagues d’émancipations du XIXeme siècle étant donné que notre objet d’étude a exploité le personnage du roman féminin et son émancipation ? 🙁
Bonjour,
Je suis partie sur une autre piste, qui j’ai bien peur sois un peu hors- sujet .. Qu’en pensez- vous ?
I. Les enfants
a.le deplacement, comparés a de la marchandise
b.nombreux, abondance dans la famille
c.les animations , ambiance cirque, les passants qui les entendent de loin
II. Portrait de Mme Tim
a.commande (tambour major)
b.apparence soignée la robe, le corsaire etc
c.anime, distribution de nourriture etc
Merci
Bonjour! J’aimerais connaitre votre avis sur mon plan fait pour le commentaire de Giono.
Ma problematique est la suivante « Comment Giono fait-il de son personnage une figure maternelle emblematique? » ( Je ne suis plus sur d’avoir mis ça ) Mais mon plan est :
I.Une figure maternelle portee en heroine aux valeurs traditionelles
II.. Mais une heroine d’un nouveau genre plus moderne
III… Qui semble avoir certaines failles.
Bonjour Amélie, j’aimerais beaucoup avoir votre avis sur mon plan de commentaire, et vous remercie d’avance si vous prenez le temps de m’accorder quelques secondes.
I) Un environnement clos et protégé : le château de Saint-Baudille
1) Un cadre riche et privilégié
2) Des serviteurs aux ordres de la châtelaine
II) Le personnage principal, entouré d’une masse d’enfants…
1) Le personnage central de Mme Tim
2) Une profusion hyperbolique d’enfants
III) … qui organise de grandes fêtes qui fascinent et amusent les habitants voisins
1) De grandes fêtes familiales rituelles
2) Sous l’oeil moqueur du narrateur et auxquelles tentent d’assister les habitants des alentours
Merci beaucoup pour tout ce que vous faites pour nous avec ce site.
Bonjours,
Tout d’abord je voulais vous remercier une nouvelle fois pour votre site ! Il est très bien construit et très riche, je passe l’oral dans une semaine et je vais re-regarder tous tes articles qui sont pour moi expliqué de façon clairs.
De plus j’ai pris le commentaire pour le Bac de français (S_ES) et j’ai fait tout mon I. sur le réalisme. En sortant j’étais contente de moi mais beaucoup de personne m’on dit qu’on ne pouvait pas parler de réalisme dans un texte du XXème ! Qu’en pensez vous ?
Merci d’avance, c’est vrai que toute ces corrections sur internet n’en parle pas et c’est un peu stressant !
Bonjour
Je voulais vous demandez si je suis hors sujet si j’ai trop insisté sur l’évolution des personnages en fonction du temps. J’ai beaucoup parler de la guerre qui change la société. En voyant la date du texte qui est de 1947 je me suis demandé si la description de la grand mère ne rejoignait pas le contexte d’après guerre dans lequel vie l’auteur. Par exemple je me souviens d’avoir parler de l’autorité de la grand-mère qui était due à la guerre. Suis je hors sujet ?
Bonjour,
Je voulais vous demander votre avis pour le plan de mon commentaire composé, parce que je suis très inquiète et je pense que je suis un peu passée à côté du texte…
Voici mon plan (je m’en souviens plus exactement, mais les grandes lignes y sont) :
I) Le souvenir de l’enfance à travers les yeux du narrateur
A. Narrateur= enfant, donc un univers hyperbolique
B. Le recul du narrateur car il s’agit d’un souvenir
(je sais que cette partie est hors sujet parce que j’ai lu trop vite mon texte et j’ai donc cru que Mme Tim était la grand-mère du narrateur, alors qu’en réalité celui-ci est observateur de la scène)
II) Un monde idéal
A. Une figure maternelle idéale (ayant mis grand-mère, je pense que c’est encore une fois hors sujet)
B. Un lieu propice à l’enfance (avec métaphore filée du vin et des enfants etc)
III) Suscitant l’intérêt du lecteur
A. Une description minutieuse (immersion du lecteur)
B. Reflet d’une société d’avant-guerre (écrit en 47, 2 ans après la seconde guerre mondiale donc le lecteur à besoin de s’évader, notamment dans leurs souvenirs, ainsi que de nombreuses références telles le « corsage », le terme « châtelaine ou l’abondance des enfants et domestiques qui ancrent le texte dans une société d’avant guerre)
Et enfin j’ai ouvert en disant que l’auteur était dans la ligné des réalistes comme Flaubert ou Balzac, ne s’inscrivant pas dans les mouvements de son temps
Selon moi j’ai fais un total contre sens avec ma faute du narrateur, car je pense du coup qu’il y avait de l’ironie dans le texte et que l’auteur procédé également à une critique. J’ai donc très peur d’avoir fais un hors sujet complet…
Qu’en pensez-vous? même si je sais que la correction pourra dépendre également de mon correcteur mais c’est toujours bien d’avoir un avis 🙂
Bonsoir Amélie !
Je viens de découvrir votre site et je le trouve pas mal du tout !
Pour ma part, j’ai pris le commentaire et fais le plan suivant :
I) La mère/Grand-mère un être fascinant
a. Une générosité débordante
b. Une figure autoritaire/pilier de la famille
c. Un savoir-faire avec les enfants
II) Un tableau de vie familiale idéal
a. Un monde de châtelain
– cadre de vie idéal avec l’ampleur du château et ses nombreuses « terrasses »…etc
– femme entourée de domestiques
– la richesse
b. Un monde enfantin apparaissant comme un royaume pour les enfants qui déborde de vie
– Abondance : plein de nourriture « parts de gâteaux », « orangeade »…
– nombreuses fêtes/jeux = envie de faire plaisir/ joie de vivre
– originalité des activités
Voilà en gros le plan que j’ai fais même si j’ai oublié quelques détails que je ne me rappelle plus … J’ai hésité à parler d’une critique de la bourgeoisie mais j’ai trouvé que ce n’était pas vraiment montré de manière explicite !
J’attends ton avis sur mon plan avec impatience,
merci !
C’est très bien et très clair.
Bonnjour Amélie j’aurais voulu savoir ce que tu penses de mon plan pour le commentaire composé :
I) une vie de château familiale
a. l’omniprésence de la famille
b. un cadre joyeux et riche….
c. … à la limite de l’opulence
II) Le portrait de Mme Tim : une femme charismatique
a. une grand-mère dévouée et aimante
b. une maîtresse de maison
c. une femme charnelle et sensuelle
III) Statut et sentiments du narrateur
a. un narrateur présent et subjectif
b. un narrateur pris de passion pour Mme Tim
Bonjour/bonsoir,
J’ai dis dans la question de corpus que la femme était le pilier du foyer et qu’elle s’en inquiété ect .. jusqu’à partir qu’elle est décrite comme indissociable puis j’ai monter son caractère maternelle : ça passe ? :/
Dans le commentaire j’ai mis en grand I :
I/ Une vie aisé.
A) description des lieux magnifiques.
B) sous l’ambiance de fête joyeuses.
II/ Mais qui est réglementé par un personnage clef.
A) description de la mémé la.
B) Figure de mère-poule.
J’ai fait une ouverture sur Balzac qui tout comme cette dame voulait rendre heureuse ses filles à la différence qu’il ne possédait pas d’argent. J’ai donc tout au long du commentaire mis quelques phrase faisant allusion à la richesse de cette dame et enfin j’ai terminé mon ouverture en disant que la dernière phrase du texte : « C’était à voir ! » reflète une ironie, une moquerie de la part du narrateur et que cela pouvait mener sur d’autres axes…
Cela atteindra la moyenne d’après-vous ? Grâce à vous j’ai fais attention à ne pas dissocier la forme du fond. Donc voilà, je vous remercie d’avance :- )
🙂 🙂 Bonjour Amélie !
J’aimerais avoir de plus amples informations sur le texte. En effet, j’aurais aimé savoir si la mention que j’ai fait des couleurs est correcte : en effet, j’ai dit (mais je n’en suis pas sure 🙂 ) que les couleurs étaient symboliques pour Giono.. J’ai dit qu’elle pouvait représenter une sorte de reproches contre la monarchie et les privilèges..
Mais bien sure je n’en suis pas sure.. ce serait vraiment gentil si vous pouviez m’éclairer ! !!
Merci Amélie, j’attends votre réponse avec impatiance..
Marguerite D. 😉 😉 😉
Bonjour, un petit message non pas pour vous soumettre mes questions concernant l’épreuve (il y en aurait trop.. ^^ ) mais plutôt pour vous dire que vos articles m’ont tous beaucoup aidée pour réviser le bac de français, ça a constitué un réel plus je pense 🙂 ! Ils sont vraiment très clairs et vont droit au but, mais sont également précis, et vos vidéos permettent de retenir les notions sans trop d’efforts! Enfin bref, vous l’aurez compris, j’apprécie beaucoup ce blog, très utile, donc merci! 🙂
Maintenant, on s’atèle à la préparation de l’oral ! *motivation*
PS : j’ai préféré ne pas regarder les réponses que vous avez données concernant le commentaire ou les autres exercices, pour ma part je trouve cela assez stressant ahah ^^ , bien que je pense avoir été dans le juste… En plus, j’ai constaté que (malheureusement!) selon les correcteurs l’appréciation est loin d’être la même 😕 …..
Bonjour Juliette,
Tu adoptes une bonne attitude : les corrigés types ne sont que des indicatifs, il y a – fort heureusement- plusieurs plans possibles pour chaque texte:) Il est vrai que l’appréciation peut varier un peu selon le professeur, mais pas tant qu’on imagine, les écarts sont généralement très raisonnables.
Que penses tu de mon plan?
1) Des fêtes extravagantes
a) importance du nombre d’enfants(hyperboles, etc)
b) L’exaltation des sens (goûters, importance des couleurs)
C) une vision de la fête nuancée( référence à la guerre: tambour major)
2) Mme Tim, une femme imposante
a) statut social
B)figure maternelle
C) description d’un personnage imposant et déifié
J’espère que ça va. Sa me fait stresser, j’ai peur que les références à la guerre soient une mauvaise interprétation
Toujours personne ?? 😯 🙁 🙄
😉 😉 Pourrait-on me répondre s’il vous plait ? Je souhaiterais avoir une réponse rapide car je suis impatiente de savoir si mon plan est « pertinent » ou non !!
Merci à vous Amélie pour vos commentaires toujours utiles et agréables
Sara.
Ps : Ma quest° est la 8eme.. j’aimerais vraiment avoir une réponse.. 😉 😉 🙂 🙂
Bonjour,
J’ai pris le sujet d’invention et j’ai fais un très beau portrait autour d’une histoire réelle et touchante. Vous pensez que le fait de peut-être pouvoir émouvoir le lecteur peut influencer ma note ? Car c’était la première fois que je prenais l’invention donc j’ai un peu le stress :p
Bonjour Amélie, pourrais tu me donner ton avis sur mon plan stp :
Ma problématique : En quoi ce portrait fait il l’éloge de Mme Tim ?
I] Un cadre appartenant au réalisme
– Thème de la famille (ménage, ainée) et généalogie (petit et petite fille de)
– Mixité des catégories socio-professionnelle (femme de châtelain, nourrisse, laquais, domestique)
– Informations spacio – temporelle (automne et topographie : Mens …)
– Forte présence de la nature (faune : lièvre … et flore : colline) et élément météo : pluie et tonnerre
– Actions ordinaires (jeu, fête familiale) et en mouvement (parallélisme monter/descendre, plisser/déplisser)
Transition : Un cadre réaliste pour mieux transfigurer Mme Tim dans une dimension extraordinaire et donner de la véracité aux propos du narrateur.
II] Un portrait fascinant
– La position du narrateur (subjectif, admiration, focalisation). Cl du regard.
– Description picturale (avec le jeu des couleurs, la faune et les infos spaciales : derrière elle) +
– Parallélisme d’opposition entre Mme Tim valorisé et les autres dévalorisé.
Les enfants sont indifférenciés avec de nombreux structure d’ensemble péjoratives : cuve et cargaison. Déshumanisation et Animalisation : ramasser et fourmillement. Comparaison péjorative avec le bruit des enfants et le tonnerre = horrible
A l’inverse, Mme Time = divinité (messager, sa maison est en haut d’une colline = dieux grecs) et autorité (ordre, tambour major). + Beauté avec métaphore statue et féminité des vêtements. Mise en avant de sa générosité, sa bienveillance, entreprenante, hospitalière.
Merci d’avance.
C’est bien, tes développements semblent assez riches.
Merci pour ta réponse. Au passage superbe site.
Plus haut, tu as dit à un autre que ce n’était pas forcement pertinent de consacrer toute une partie au réalisme. Est ce fort pénalisant ?
Bonjour, voici mon plan de corpus :
ne faites pas attention à la formulation des phrases …
1) La figure maternelle, moteur des famille et autoritaire
2) Une description luxueuse avec de bons sentiments
3) Un reveil de l’enfance : les jeux, la nature …
voici maintenant mon plan de commentaire :
J’ai très peur car j’ai parler de l’anti héros …
Comment la figure maternelle présente dans ce roman parait être de l’anti héroïsme ?
1) L’enfance, des instants de la vie que l’on oublie jamais
a) l’amusements, les jeux révélant la joie … (sentiments)
b) Les sens éveillés (conforts … gouts … vue …)
2) La présence d’une figure maternelle anti-héroique
a) Une mère autoritaire
b) Une vie assez banalisée (à cause des répétions … et ne servant qu’à s’occuper des enfants …)
Merci d’avance pour tous vos conseils (: !
Bonjour Klara,
Effectivement, ces développements sur l’antihéros ne sont pas appropriés, d’autant plus que Mme Tim est un personnage extraordinaire dans ses excès (l’antihéros est ordinaire et médiocre). S’agissant de la question sur corpus, l’intitulé de tes paragraphes ne donnent pas de réponses claires à la question. « Une description luxueuse » ou « un réveil de l’enfance » ne sont pas des caractéristiques de la figure maternelle…Faites toujours très attention à donner des réponses claires et logiques à la question posée.
Salut Amélie, j’ai vraiment peur… Apres avoir vu le corrigé et la majorité des commentaires, j’ai l’impression d’avoir fait du hors sujet total dans ma deuxième partie, même si quelques internautes ont présenté la même idée que moi… Voici mon plan:
I) Un souvenir festif
a)Univers de la festivité
b)Une souvenir réaliste
II) Portrait satirique de Mme Tim
a)Aspect comique de Mme Tim
b)Un narrateur réjouissant
Mon dieu, je sais que je n’aurai pas une note très élevée…
Bonjour Amelie, j’ai prit le commentaire, j’ai comme plan :
Problematique : comment apparaît madame Tim dans cet extrait de roman ?
I Une femme présentée comme extraordinaire à travers le regard du narrateur
A) Une femme puissante, qui domine l’action et l’intrigue
B) Une femme riche
C) Un narrateur admiratif
II Une scene et des portraits réalistes
A) la stratetegie de l’auteur pour parvenir à rendre la situation réelle
B) l’auteur, un homme physionomiste
Ouverture :Les raisins de la colère ( la mère figure d’autorité )
J’aimerais avoir votre avis ( stresse beaucoup )
Pouvez vous me répondre ( c’est très important pour moi )
Ps : désole pour tout les messages mais j’aimerais avoir l’avis de vrais professeurs 😐
Bonjour Mel,
Il est très difficile de juger à la seule lecture de ton plan. Tout un axe de lecture sur le réalisme n’est pas le plus pertinent, et il est difficile de savoir sans lire ton devoir s’il n’y a pas de redondances entre ton I -C et ton II -B. Tu ne sembles pas avoir parlé des fêtes et des excès de Mme Tim. Toutefois ton premier axe est très bien. Inutile de stresser à l’avance… Concentre-toi sur l’oral 🙂
Bonjour amelie,
Je n’aî pas « tourner en rond » entre I C. et II a. Dans le troisième sous axe, j’ai montre qu’il est admiratif au point de l’espionner ( champ,lexical du regard, il la surend passe la tête au dessus de la haie ) . Pour le premier sous axe du II j’ai montre que le narrateur invite le,lecteur dans l’intrigue ( expression c’était a voir, on l’aurait toute voulue ) évocation de lieux réels ( château, saint Baudille ) évocation de profession réelles ( laquais, domestique ) et le nom des personnages qui est expliqué entre parenthèse dans le texte
Merci pour votre avis et en espérant que mon message vous a éclairé 🙂
Oui, tu sembles avoir bien délimité ces deux sous-parties. Tu évoques des choses intéressantes, même si ton deuxième axe est plus faible que le premier et que certains points clés du texte semblent avoir été oubliés (les fêtes, l’abondance, les excès de Mme Tim et cette étrange métaphore avec une déesse/ogresse…). Il n’est de toute façon pas possible de corriger un plan seul. Ce sont la pertinence des éléments relevés et de leur analyse, la composition du devoir et l’expression écrite qui vont faire l’essentiel de ta note. Or tu sembles avoir les idées bien claires et les éléments que tu relèves sont judicieux. Ne te fais donc pas de souci, tout cela devrait être valorisé.
Merci beaucoup Amelie,
Je tiens a préciser que les fêtes, les excès, j’en parle dans le I b ( évocation d’activité au pluriel, hyperbole abondemment grand mere …) 😉
Tant mieux 🙂 C’est pour cela qu’il est impossible de juger un plan seul. Certains trouvent un plan très pertinent mais le développent très mal (voire ne développent pas ce qu’ils annoncent !). Certains on des plans « moyens » mais font des analyses très riches…C’est pourquoi seul le commentaire dans son intégralité peut être jugé.
Merci Amelie 🙂
Bonjour,
j’ai choisi la dissertation et voici le plan que j’ai suivi :
I. Le romancier peut créer des personnages extraordinaires : les avantages d’un tel personnage
A/ Il permet l’évasion (roman d’aventures…)
B/ Il symbolise un idéal, un modèle à suivre (ex : La Princesse de Clèves, Gargantua…)
C/ Un personnage extraordinaire peut révéler le point de vue/la personnalité du narrateur : par exemple dans La Promesse de l’Aube, Roman Gary fait de sa mère un personnage extraordinaire, ce qui montre son amour, son admiration pour elle. ou dans les extraits du corpus…
II. Le romancier ne doit pas nécessairement créer des personnages extraordinaires : les atouts d’un personnage ordinaire
A/ Le lecteur s’y reconnait et est ému plus facilement (ex : Pierre et Jean)
B/ Les personnages qui nous ressemblent peuvent apporter plus aisément une dimension critique (ex : romans naturalistes avec la description du milieu ouvrier notamment)
C/ Ils peuvent également engager plus facilement une réflexion philosophique ou politique (ex : Fahrenheit 451, L’Etranger)
J’aimerais avoir votre avis sur ce plan..
Je n’ai pas fait de troisième partie, est-ce que ça parait bancal ?
Et je n’ai pas beaucoup exploité les extraits du corpus…
Merci beaucoup pour tous vos conseils !!!
Bonjour Amelie, j’ai prit le commentaire, j’ai comme plan :
Problematique : comment apparaît madame Tim dans cet extrait de roman ?
I Une femme présentée comme extraordinaire à travers le regard du narrateur
A) Une femme puissante, qui domine l’action et l’intrigue
B) Une femme riche
C) Un narrateur nostalgique et admiratif
II Une scene et des portraits réalistes
A) la stratetegie de l’auteur pour parvenir à rendre la situation réelle
B) l’auteur, un homme physionomiste
Ouverture :Les raisins de la colère ( la mère figure d’autorité )
J’aimerais avoir votre avis ( stresse beaucoup )
Pouvez vous me répondre ( c’est très important pour moi )
😉 Bonjour à tous, je voudrais savoir si le point de vue adopté par le narrateur est interne ou externe ? (car plusieurs personnes ont mis externe) Merci d’avance
Je pense que le narrateur est interne et il invite l’électeur dans l’intrigue (omniprésence du on, expression à le fin c’etait a voir , on l’aurait toute voulue )
Merci beaucoup Mel 😉
Bonjour Amelie, j’ai prit le commentaire, j’ai comme plan :
Problematique : comment apparaît madame Tim dans cet extrait de roman ?
I Une femme présentée comme extraordinaire à travers le regard du narrateur
A) Une femme puissante, qui domine l’action et l’intrigue
B) Une femme riche
C) Un narrateur nostalgique et admiratif
II Une scene et des portraits réalistes
A) la stratetegie de l’auteur pour parvenir à rendre la situation réelle
B) l’auteur, un homme physionomiste
Ouverture :Les raisins de la colère ( la mère figure d’autorité )
J’aimerais avoir votre avis ( stresse beaucoup )
S’il vous plaît pouvez vous me répondre c’est le message 26
Merci
S’il vous plait, pourriez vous répondre à mon message. C’est le message n°17.
Merci beaucoup pour votre aide !
Bonjour Amélie pendant toute l’année grâce à vous j’ai progresser au niveau de l’écriture mais aussi de la fluidité au niveau des phrases je vous remercie .
Hier j’ai pris le commentaire composé et comme Antonin pour mon ouverture j’ai parler d’Arthur rimbaud et entre autre A la musique ou il y’avait de nombreuses similitudes avec cet extrait de Jean Giono a première vue ( comme les musiciens et une certaine critique des haut fonctionnaires ) , j’ai parler de la critique de la noblesse puisque on peut interpréter que tambour- major voulait dire sorte de sous officiere et donc que les habitants et proches n’était que des soladats et qui étaient à ses ordres , qui doivent la suivre ..
Je voudrais avoir un avis merci encore 😐
Bonjour Amelie, j’ai prit le commentaire, j’ai comme plan :
Problematique : comment apparaît madame Tim dans cet extrait de roman ?
I Une femme présentée comme extraordinaire à travers le regard du narrateur
A) Une femme puissante, qui domine l’action et l’intrigue
B) Une femme riche
C) Un narrateur nostalgique et admiratif
II Une scene et des portraits réalistes
A) la stratetegie de l’auteur pour parvenir à rendre la situation réelle
B) l’auteur, un homme physionomiste
Ouverture :Les raisins de la colère ( la mère figure d’autorité )
J’aimerais avoir votre avis ( stresse beaucoup ) 🙂
J’ai fait le plan suivant pour le commentaire de Jean giono:
1. Un cadre pittoresque et une atmosphère joyeuse et conviviale
-le décor naturel
-les enfants
-la nourriture
-les divertissements
2. Un personnage féminin mis en valeur par le cadre
-portrait physique vague
-Une femme organisée
-une figure maternelle
C est correct? Merci d avance!
Oui c’est intéressant 🙂
Bonjour Amélie , j’ai choisis le commentaire composé pour l’épreuve de français pour cela j’ai fait le choix d’un plan en deux parties ,
I) Description d’un village
II) Omniprésence de Mme Tim ( avec traits de caractère élogieux et une femme qui suscite admiration )
dans cette deuxième parti j’ai bien peur d’être passe a cote de la plaque .. j’ai parler d’une satire de la noblesse car j’ai vu qu’elle était considérer comme une sorte d’officière et plusieurs mots nous laisser penser ( comme « derrière elle « ou encore « les autres » qui marque la distance avec les habitants )
Et en ouverture j’ai parler de Arthur Rimbaud avec le titre » A la musique » merci de répondre
Ton plan est intéressant. Il était possible de voir dans ce passage quelques critiques, ce n’est pas hors-sujet.
Bonjour, j’ai pris ce plan pour le commentaire
Problématique : comment apparaît madame Tim dans cet extrait de roman ?
I Une femme présentée comme extraordinaire à travers le regard du narrateur
A) Une femme puissante, qui domine l’action et l’intrigue
B) Une femme riche
C) Un narrateur admiratif
II Une scene et des portraits réalistes
A) la stratetegie de l’auteur pour parvenir à rendre la situation réelle
B) l’auteur, un homme physionomiste
Ouverture : le chef d’œuvre inconnu Balzac : portrait également réaliste mais contrairement à Mme Tim qui est présente comme une héroïne, le vieillard est présenté comme un être inquiétant , qui suscite le trouble
Alors qu’en pensez vous ? Je stresse beaucoup 🙂
Bonjour Amélie !
Svp m’oubliez pas :p (mon message est le 10.) je suis vraiment en stress depuis hier !
Merci d’avance !
Déborah
Bonjour Amélie,
Ce super site m’a vraiment aidé à éclairer de nombreux aspects que je n’avais pas bien compris tout au long de l’année, donc merci beaucoup !
Pour ma part, j’ai opté pour la dissertation avec un plan dialectique en trois parties et dans chacune deux sous-parties, j’étais d’ailleurs assez fière de trouver la troisième grande partie mais bon j’ai un petit peu peur tout de même qu’elle ne tienne pas la route !
J’ai mis : Le romancier peut présenter des personnages incarnant des héros (1), cependant les personnages médiocres peuvent aussi présenter certains avantages (2), sans être à part entière des héros ou des antihéros, les personnages de roman peuvent aussi évoluer au fil de l’histoire (3).
Mais ce qui me pose problème, c’est que pour illustrer un argument dans ma troisième partie j’ai mis que Stendhal avait dit que le personnage, c’est « un miroir que l’on promène le long d’un chemin », alors que je me suis rendue compte qu’en fait il ne parlait pas de personnage de roman, mais du roman lui-même…cela peut me pénaliser beaucoup? Sachant que du coup, l’argument n’est plus vraiment valable..
Bref, encore merci beaucoup pour ce site, maintenant objectif oral !
Bonjour Emmanuelle,
Ton plan est pertinent et ta 3ème partie apporte une valeur ajoutée au devoir, ce qui est important dans un plan dialectique. S’agissant de ton argument en 3ème partie, il perd effectivement en force, mais le devoir est noté de façon globale, il n’y a pas de point attribué de façon mécanique à chaque argument. Ainsi, si les autres arguments et exemples sont bien développés et que l’ensemble est bien rédigé, tu n’as pas de souci à te faire. Bon courage pour l’oral maintenant ! 🙂
Bonjour j’ai fait un plan sur le commentaire au bac de français pouvez vous me dire si c’est juste ?
I) La description d’une mère
1) Une femme aisée
2) Une femme organisée
3) Une mère presque parfaite
II) Les spécificités de la description de la mère
1) Le lieu et l’environnement
2) le cadre temporel
3) Le cadre festif
III) Les sentiments de l’auteur
1) Un auteur ébahi
2) Un auteur très attentif
3)Un auteur envieux
Bonjour
J’ai passé hier l’épreuve de français, ayant choisis le commentaire je ne suis pas du tout rassuré.
Voici mon plan:
En quoi ce texte a-t-il un caractère onirique?
I/ Un cadre spatio-temporel indéfinit.
1/ Les CCT
2/ Le CCL
II/ Un lieu rêver
1/ champs lexicaux de la nature et de la nourriture. => signe d’abondance
2/ Les personnages
Pourriez-vous me dire ce que vous en pensez, merci d’avance.
Bonjour Morgane,
Le cadre était intéressant à commenter, mais faire quasiment deux axes sur celui-ci te fait prendre le risque de passer à côté d’autres points clés du texte, notamment le personnage de Mme Tim sur lequel il y avait beaucoup à dire.
Bonsoir
J’ai passé l’épreuve de français série S ce matin et j’ai choisi le sujet d’invention.
Le personnage que j’ai décris est un chat. voila j’espère que je n’était pas hors sujet. Pourriez vous me confirmer si j’ai bien fais de choisir un animal comme être ordinaire que j’ai, à travers de mon regard, transformé en personnage extraordinaire.
Merci pour la réponse.
Bonjour, je voudrais savoir si mon commentaire n’est pas hors sujet.
J’ai mis :
I- Une femme admirée
a) Description de la femme
b) La grand-mère aimée de son entourage
II- Une femme indispensable
a) Une femme généreuse
b) Qui rassemble tout le monde dans la joie (fête)
J’ai peur d’avoir oublié le cadre saptio-temporel de l’extrait. En plus, je n’ai pas parlé du milieu aisé de la grand-mère. Je crois que ce n’est pas bon…! 🙁
Bonsoir! Je voudrais savoir si mon plan de la question et de corpus et de la dissertation est correct, du moins, pas hors-sujet ! 😉
Pour la question de corpus:
1-Le pilier de la famille, forme d’autorité
2-Repère et modèle
Pour la dissertation:
1-Le choix de personnage ordinaire
Une banalité du personnage compléter par l’intrigue
Un modèle, sans être hors du commun
Une richesse de vocabulaire qui remplace la simplicité des personnages
2-Le choix de personnage extraordinaire
Une imagination développer
Un rêve, un moyen de s’évader de la routine
Merci beaucoup !
Mais également entrée dans une société de loisir (chasse au lièvre mentionnée) etc… et donc en rapport au sujet des personnages qui se veulent représentatifs de la société
Bref à côté du début à la fin…
Je suis totalement annéanti, j’ai l’impression d’avoir été totalement à côté de la plaque, j’ai relié le texte à la situation de l’époque (1947 –> fin seconde GM) donc un texte qui est en fait un prisme de l’époque (femmes qui travaillent, familles nombreuse (baby boom) ….
Bonsoir Lolo,
Effectivement, ce n’est pas très pertinent. Mais tu as sans doute aussi développé d’autres aspects. Il ne faut pas se focaliser sur les erreurs.
J’ai passé mon épreuve de français ce matin et j’ai beaucoup de doutes par rapport à ce que j’ai fait.
J’ai axé mon commentaire sur le faite que les auteurs utilisent des personnages basiques,ordinaires pour leur roman et les transforment en héros en les rendant extraordinaire. J’ai donc choisi pour problématique : Comment l’auteur transforme-t-il le personnage d’une simple grand mère, en un personnage fascinant,extraordinaire ?
Dans mon développement j’ai insisté sur le portrait qui est fait de la grand mère; une grand mère bien veillant,généreuse…, les moyens utilisés par l’auteur pour mettre ce personnage en valeur; la description ,le contexte ( les enfants qui sont autour d’elle …), l’atmosphère maternelle qui régnait …( je ne me rappelle pas exactement de tout ce que j’ai mis mais en voici une petite partie). J’ai également fait un petit rappel de 4 lignes sur l’histoire du personnage de roman au début avant de commencer mon commentaire.
J’aurais donc voulu savoir si mon raisonnement est hors sujet car j’ai de gros doutes et je ne sais pas quoi penser ?! Merci de votre réponse
Bonjour, j’ai donc passé mon bac de français ce matin, j’ai franchement bien réussis la dissertation, mais j’ai un petit problème, en écrivant les siècles en chiffres romains, j’ai confondu quelques fois le 18ème et le 19ème. Est-ce que l’examinateur va beaucoup me pénalisé pour cela ? Je stresse vraiment d’avoir fais une erreur aussi bête. Merci d’avance pour votre réponse !
C’est une erreur qui pourra faire croire que tu ne maîtrises pas bien l’histoire littéraire, mais cela reste anecdotique. C’est la copie dans son ensemble qui est notée, on n’enlève pas des points parce qu’un élève s’est trompé de siècle, on note la pertinence l’ensemble de la copie selon des critères plus généraux (pertinence du plan , des idées développées, qualité des exemples, qualité de l’expression écrite et de l’orthographe).
Bonjour,
Pour le commentaire, j’ai mis le plan ci-dessous, qu’en pensez-vous?
PB: Quels image le narrateur nous donne de Mme Tim?
I- Le principale centre d’intérêt de Mme Tim est d’amuser les enfants
1) Une femme avec laquelle on s’amuse toujours
2) Tout le monde s’amuse
II- Mme Tim est une mère universel
1) Une universalité exprimé par son corps et ses vêtements
2) Elle est universel par sa fonction
3) Elle est universel par son approche aux personnes
Bonjour !
Je suis paniquée, en voyant le corrigé, je n’ai pas du tout retrouvé les mêmes axes, ce que j’ai fait :
Problématique : En quoi le personnage de Mme Tim est-il central pour sa famille et pour la société ? ( quelque chose comme ça )
I- Une figure maternelle
A) Une position familiale bien assise
B) De nombreux enfants
II- Un personnage fascinant et extraordinaire
A) Un personnage haut en couleur
B) Position sociale bien assise
Pour le corpus, que je n’ai malheureusement pas eu le temps de finir (je l’ai traité en dernier), mon plan était :
Problématique, j’ai réécris la question : Quels sont les points communs et différences de ces figures maternelles ?
I- Des figures maternelles suscitant une fascination
A) Qui sont ces personnages ?
B) Auprès de qui ? Quels liens les unissent ?
II- Portraits des personnages
A) Portraits physiques
B) Caractères
Qu’en pensez-vous ??? Je suis vraiment paniquée, d’ailleurs j’ai une dernière question à propos de l’ouverture pour le commentaire, je n’avais vraiment pas d’idées donc le rapprochement que j’ai fait n’est pas très cohérent mais en gros j’ai dit que les petits-enfants de Mme Time avaient l’air très présents dans sa vie et que ça pouvait nous faire penser au Père Goriot dont les filles représentent tout pour lui.
Merci d’avance, et une fois de plus bravo pour votre site, il est vraiment super !
Bonjour Déborah,
Tes deux axes de lecture sont cohérents mais tu sembles avoir fait des répétitions (le I -A et II- B sont quasiment identiques et je ne sais pas si tu avais assez d’éléments pour le II – B). S’agissant de la question sur corpus, il ne faut pas reformuler la question mais y répondre très précisément. On ne voit pas les réponses dans ton plan, mais tu les as peut-être développées à l’intérieur de tes paragraphes. De toute façon il est impossible de juger la note sur le seul plan…Donc sois patiente et concentre-toi sur l’oral !
Vous parlez par rapport au corpus ou par rapport au commentaire ?
Merci de votre réponse !
Je suis vraiment désolée de vous reposer la question, mais est-ce que votre réponse concerne mon plan de corpus ou celui du commentaire car honnêtement j’attends pas grand chose du corpus vu que je n’ai pu rédiger que la moitié cependant ça m’inquièterait plus si c’était à propos du commentaire.
Merci beaucoup
Je voudrais ton avis sur mon plan, je suis complètement perdu, j’ai l’impression d’etre a coté de la plaque …
I)Le narrateur dresse un portrait élogieux de Mme Tim
II) Mme tim un personnage extraordinaire
Bonjour, j’aimerais savoir si mon plan est cohérent !!
I/ Une femme aux multiples caractères
1)Une femme qui semble parfaite
2)Une femme buccolique
3)Une femme démesurée
II/Une présence affirmée des privillèges
1) Une femme véritablement aisée
2) La critique sociale
Voila.. en ce qui concerne la crise sociale j’ai parlé des couleurs qu’a évoqué Giorno.. Le bleu, le blanc et le rouge.. qui sont les couleurs du drapeau tricolore = Monarchie + Noblesse + Peuple.. Disparité d’une élite encore en place au XXe avec le systeme de la bourgeoisie 😀
Merci de votre réponse sara !
Je vous remercie encore pour votre réponse, j’espère juste ne pas trop être pénalisée !
Bonne continuation.
Merci beaucoup de votre réponse, mais si on considère que le récit est autobiographique dans la mesure ou c’est le narrateur qui décrit ses souvenirs ?
Ce n’est pas la définition d’une autobiographie. Autobiographie = vie de l’auteur. Ceci dit, le correcteur comprendra sûrement ta pensée et saura valoriser les points intéressants même si le terme d’autobiographie n’est pas juste.
Bonjour Juliette.
.
Voici mon plan de corpus:
I. La Mére
A/ Une personne élégante,raffinée
B/Un être supérieur
II. Un exemple et un pilier pour la famille
A/ D’un point de vue psychique
B/ D’un point de vue physique
En ce qui me concerne j’ai pris le commentaire qui m’a fortement inspirée mais je suis dans le doute total concernant la pertinence de mon plan.
I Composition du texte
> 3 partie inégal
II Le Réalisme
> Personnage,
>parenthèses,
> lieux
III Une satire
A/Un registre épique action accumulées …
B/ L’ironie > comique de mot, pointe à la fin, oxymore…
Merci de me dire si ce plan vous semble pertinent sa me rassurerai un peu. 😯
Bonjour,
Comme Dimitri, je sors de l’épreuve et comme lui je ne sais plus où j’en suis.
Ayant choisi le commentaire, j’ai donc répondu à ma problématique « En quoi ce texte permet-il à Jean Giono de réaffirmer le rôle de la femme au sein d’une famille? » suivant deux axes :
I/Un tableau d’une partie de campagne banale et agréable grâce à l’illusion réaliste
A/Un cadre spatio-temporel banal et agréable
B/Des personnages banals
C/La multiplicité des évènements qui permet au lecteur de se représenter la scène
–>Donc la portée de l’évocation est universelle
II/La description significative d’une figure maternelle
A/L’affirmation de son autorité
B/Mme Tim : une mère qui transmet et diffuse la vie
Voilà, j’ai beaucoup hésité en élaborant mon plan, et c’est pourquoi j’aimerais dans la mesure du possible connaitre votre avis dessus.
Merci d’avance, et merci pour ce site qui m’a bien aidé dans mes révisions.
Bonjour Jacky,
Ton plan est bien structuré et contient beaucoup de bons éléments. Le premier axe n’est toutefois pas le plus pertinent dans la mesure où la scène décrite est tout sauf banale. C’est un spectacle hors norme, avec une grand-mère nourricière hors norme, ce qui pousse d’ailleurs le narrateur à s’exclamer à la fin de l’extrait : « C’était à voir ! ».
Merci pour votre réponse, mais ne peut on pas dire que l’environnement de la grand mère est banal, dans la mesure où le cadre spatiotemporel est imprécis, les personnages sont impersonnels (les domestiques, le messager) et les évènements sont aussi divers que banals? Et que cette banalité de l’environnement met en valeur le caractère exceptionnel du personnage de Mme Tim? Dans ce cas l’exclamation finale correspondrait à la surprise à la vue de ce dernier personnage. Merci encore de prendre ce temps pour nous répondre, c’est très intéressant.
Bonjour Dimitri,
Ta réponse à la question sur corpus est riche et très juste, tu n’as pas de souci à te faire. Il est vrai que le sujet d’invention était particulièrement inspirant cette année. Bon courage pour l’oral si tu n l’as pas encore passé. A bientôt,
Bonjour Amélie,
Je sors du bac de français et je me pose actuellement une question, mon plan est le suivant pour le commentaire composé :
I-Un récit autobiographique, vivant et réaliste
II- Le portrait de Mme Tim
III- L’image de la figure maternelle
J’aurai aimée savoir si l’on pouvait considèrer l’extrait de Un Roi sans divertissement comme un récit autobiographique?
Merci d’avance pour votre réponse.
Bonjour Fanny,
Une autobiographie est le récit de sa propre vie par un auteur. Or ici aucun élément ne te permettait de dire que Giono racontait sa propre vie. Il s’agit d’un récit fictif : le narrateur ne se confond pas avec l’auteur. Ceci dit, tu as soulevé d’autres points plus pertinents dans ton devoir. A bientôt,
Bonjour Amélie,
Je sors de l’épreuve et je suis un peu déconcerté. Je ne sais pas du tout où me situer.
Pour la question sur le corpus voici mon plan:
I. L’image d’une déesse
A. La mère, un être supérieur
B. La description d’une beauté exaltée
II. La mère: le pilier familial
A. L’infaillibilité de la mère
B. L’intériorisation des maux familiaux, la mère supporte tout
Pour le travail d’écriture j’ai pris l’écriture d’invention que je prends rarement mais qui m’a inspiré et j’ai donc parlé de l’amour d’un jeune homme pour une femme qu’il aperçoit dans un parc et qu’il décrit de façon symbolique avec des rapport à dieu parfois. Un amour qu’il ne peut pas atteindre du fait de cet être qu’il pense bien supérieur à lui. Bref je me mélange peut-être mais j’espère que vous me comprendrez.
Merci d’avance pour votre réponse.