Dom Juan, acte V scènes 5 et 6 (dénouement) : analyse

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dom juan acte 5 scene 5 et 6 analyseVoici un commentaire de l’acte V scène 5 et 6 de Dom Juan de Molière (le dénouement)

Clique ici pour lire le texte (acte V scènes 5 et 6).

Dom Juan, acte 5 scènes 5 et 6 : introduction

Après l’interdiction de représentation de sa pièce Tartuffe, en 1664, Molière se retrouve dans l’obligation de monter rapidement une autre pièce pour faire vivre ses comédiens. Il écrit alors Dom Juan ou Le Festin de pierre, selon un sujet à la mode à l’époque : Tirso de Molina avait déjà écrit en 1624 une pièce sur le même thème, qui se terminait de la même façon.

Ce dénouement de Dom Juan a été annoncé un peu plus tôt dans l’acte III scène 2 par la rencontre avec le pauvre, personnage emblématique et représentant de Dieu : il est temps pour Dom Juan d’affronter son destin et de subir le châtiment divin dans un ultime combat contre Dieu.

Pour mieux situer cette scène dans l’œuvre, tu peux lire mon résumé de Dom Juan (avec vidéo).

Questions possibles à l’oral de français:

♦ En quoi ce dénouement de Dom Juan est-il ambigu ?
♦ Quelle est la morale de cette scène de dénouement ?
♦ Quels problèmes ce dénouement pose-t-il à un metteur en scène ?
♦ Qu’est-ce qui fait l’originalité de ce dénouement ?

Annonce du plan

Nous étudierons tout d’abord ce qui fait de ces scènes 5 et 6 de l’acte V le dénouement de la pièce (I), avant de nous interroger sur le genre littéraire de Dom Juan, pièce qui oscille sans cesse entre comédie et tragédie (II). Enfin, nous nous demanderons quel est le sens à tirer de cette scène de fin ambiguë (III).

I – La fin de Dom Juan et la fin de Dom Juan

            A – Un dénouement logique

Ce dénouement n’est guère surprenant dans la mesure où il est très similaire à celui de Tirso de Molina, et Molière sait bien que les spectateurs le connaissent déjà.

Il ne peut en être autrement : Dom Juan, qui a fait semblant de se repentir dans les scènes précédentes, a vécu une vie trop contraire à la morale (sociale et religieuse) pour ne pas être puni. S’il ne se repent pas sincèrement, comme lui propose le spectre, sa mort est la seule issue possible.

Le combat est dès le début inégal, et par conséquent voué à l’échec ; Dom Juan, être de chair, tente de lutter contre un fantôme, être immatériel et donc hors d’atteinte, comme l’illustre la didascalie : « (Le Spectre s’envole dans le temps que Dom Juan le veut frapper.».

La dernière réplique de Sganarelle, qui clôture la pièce, sert également de récapitulatif et de bilan en listant les torts de Dom Juan :

♦ Le « Ciel offensé » correspond à l’impiété de Dom Juan, qui a sorti Elvire du couvent, tenté de faire jurer le pauvre et fait semblant de se convertir ;
♦ Les « lois violées » sont le meurtre du Commandeur, mais aussi le non-respect de la morale sociale et religieuse ;
♦ Les « filles séduites » font sans nul doute référence  à Elvire, Charlotte et Mathurine;
♦ Les « Familles déshonorées, parents outragés » sont les frères d’Elvire qui pourchassent Dom Juan et le propre père de Dom Juan;
♦  Elvire est l’une des « femmes mises à mal », qu’il a déshonorée;
Pierrot est l’un de ces « maris poussés à bout ».

            B – Une fin à machine : le « deus ex machina »

La fin en forme de « deus ex machina » (intervention divine, souvent figurée sur scène par une machinerie) était également déjà présente dans la version de Tirso de Molina, ce qui ne l’empêche pas d’être ici spectaculaire avec une abondance d’artifices visuels et auditifs (« Le tonnerre tombe avec un grand bruit et de grands éclairs sur Dom Juan ; la terre s’ouvre et l’abîme ; et il sort de grands feux de l’endroit où il est tombé. »)

Pour commencer, l’intervention divine prend ici plusieurs formes, de plus en plus effrayantes :

♦ Il y a d’abord le « spectre, en femme voilée », qui représente toutes les femmes bafouées par Dom Juan au cours de la pièce.

Dom Juan affirme d’ailleurs : « Je crois connaître cette voix », qui laisse penser que c’est une femme qu’il a déjà croisée ; Elvire peut-être ?

♦ La deuxième forme est « le temps avec sa faux à la main ».

Le message est clair : la faux, instrument emblématique, représente la mort imminente de Dom Juan. Cette figure symbolise également l’inconstance du héros, qui ne vit que dans le présent, comme si ses actions n’avaient aucune conséquence.

♦ Enfin arrive la statue du Commandeur, qui avait donné rendez-vous à Dom Juan. Ce personnage de pierre, lourd et froid, représente l’obstacle divin qui s’oppose à Dom Juan et l’entraîne dans l’abîme.

            C – Un dénouement intense

C’est donc un dénouement en forme d’affrontement intensément dramatique : les figures de l’éternité viennent s’opposer à Dom Juan, homme mortel et inconstant.

Toute cette fin, où se joue pourtant la mort du héros, est rapide (son sort est réglé en deux courtes scènes) ; la succession de répliques brèves contribue au rythme rapide de cette clôture : « Oui. Où faut-il aller ? / Donnez-moi la main. / La voilà. »).

Une fois la sentence prononcée par la statue, c’est la fin de Dom Juan : sa mort se joue dans un paroxysme d’effets spéciaux, avant que Sganarelle ne fasse retomber la tension avec sa dernière réplique.

Transition : Cette scène clôture donc la pièce de la manière la moins équivoque qui soit : dans ce dénouement attendu par le spectateur, le héros meurt, laissant son valet dans le désarroi.

Il y a donc bien une tonalité tragique, et pourtant la dernière réplique, qui sort de la bouche de Sganarelle, est destinée à faire rire…

II – Dom Juan : Comédie ou tragédie ?

            A – Un dénouement tragique

La mort du héros suffirait à rendre cette fin tragique : annoncée par la scène du pauvre, par le rendez-vous pris avec un mort et par le spectre qui adopte la figure du temps, elle est inévitable.

Il y a bien dans la pièce une forme de destin, typique des tragédies : Dom Juan court à sa perte courageusement – et ce, malgré les diverses chances de se repentir qui lui sont offertes (« Dom Juan n’a plus qu’un moment à pouvoir profiter de la miséricorde du Ciel »), ce qui rend son entêtement d’autant plus impardonnable.

Mais il est libre, contrairement au héros de tragédie : il choisit son sort en toute connaissance de cause.

Il refuse jusqu’au bout de reconnaître son impuissance face aux forces supérieures, et oppose aux événements surnaturels la force de sa raison : « je veux voir ce que c’est ».

B – Sganarelle, contrepoint comique

Après la mort grandiose de Dom Juan, la réplique du valet vient terminer la pièce par le rire.

La réplique elle-même n’est guère surprenante, car elle correspond parfaitement à ce qu’on sait du personnage, même si elle paraît totalement déplacée : Sganarelle est cupide (« Mes gages ! » répété deux fois au début et trois à la fin), égocentrique Il n’y a que moi seul de malheureux ») et peureux (il n’intervient qu’une fois le danger passé).

C’est pourtant lui qui tire la moralité de la pièce : « tout le monde est content ».

Sa liste des victimes de Dom Juan, qui trahit son goût des énumérations, devient ridicule  en se terminant par un élément farcesque : les maris « poussés à bout », c’est-à-dire cocus.                                             

C – Le mélange des genres : une esthétique baroque

Ce mélange de registres (tragique/comique) rend la pièce difficile à classer.

Ce qui est certain, c’est qu’elle ne suit pas les règles de la tragédie classique :

♦ Les 3 unités ne sont pas observées (la pièce dure plusieurs jours, se passe dans divers lieux et plusieurs intrigues se déroulent en même temps) ;
♦ La vraisemblance n’est pas respectée (la statue du Commandeur qui bouge et parle en est un exemple flagrant)
♦ La bienséance est totalement bafouée à partir du moment où Dom Juan meurt sur scène.

Aux registres tragiques et comiques vient s’ajouter le registre fantastique et le surnaturel, avec le spectre qui change de forme (« Le Spectre change de figure ») dans la scène 5 et le Commandeur tué par Dom Juan qui semble revenir dans le monde des vivants.

On bascule ainsi dans le monde du rêve et de l’illusion, du changement et du spectaculaire, qui sont caractéristiques de l’esthétique baroque.

De même, les thèmes de la mort, du temps (représenté sur scène, presque incarné) et de l’éphémère (rappel que l’homme est mortel contrairement au divin), ainsi que le déroulement rapide des événements et l’association des contraires (tragédie/comédie), sont des traits emblématiques du mouvement baroque.

Transition : Le genre de la pièce est donc ambigu, mélangeant les registres et les influences. Plus ambiguë encore, l’interprétation de cette scène de clôture reste aujourd’hui ouverte.

III – Un dénouement à l’interprétation ouverte

            A – L’héroïsme de Dom Juan

Dom Juan fait-il preuve d’orgueil ? Va-t-il trop loin dans son impiété, au péril de sa vie ?

Sa fin est trop grandiose pour en faire un héros aveuglé par son orgueil. Au contraire, il fait preuve d’une constance extraordinaire en refusant obstinément de se repentir : tout comme le pauvre refusait de blasphémer, Dom Juan reste fidèle à ses idées : « il ne sera pas dit, quoi qu’il arrive, que je sois capable de me repentir. »

Face au surnaturel qui terrifie son valet, Dom Juan essaie de s’en tenir à la raison et à son expérience sensible (« je veux voir », « je veux éprouver »).

Il emploie des formules brèves, fermes et absolues : « Non, non », « quoi qu’il arrive », s’opposant ainsi aux figures de la superstition qui viennent le mener à mort.

La répétition de la négation montre son obstination à revendiquer sa liberté.

Lorsqu’il finit par mourir, c’est en tendant la main sans aucune hésitation vers la figure qui va l’achever (« Donnez-moi la main. / La voilà. »).

Même lorsque le feu le dévore, il ne demande pas le pardon pour ses péchés ; il se contente de décrire ses sensations : « que sens-je ? Un feu invisible me brûle, je n’en puis plus, et tout mon corps devient un brasier ardent. ».

La description des souffrances physiques ne va pas de pair avec un repentir moral : dans cette scène 6 de l’acte V, jusque dans la mort, Dom Juan défie Dieu.

B – Un châtiment divin spectaculaire

On l’a dit : cette punition divine était prévisible et attendue des spectateurs.

La première lecture du dénouement serait de voir dans cet affrontement la victoire divine sur l’impie : une fois mort, il ne peut plus rien et n’a pas pu se soustraire à son destin.

On assiste là à une sorte de renversement du « deus ex machina » : d’ordinaire, l’intervention divine sauve le héros de la pièce.

Les descriptions, même rapides, de la souffrance ressentie par le héros, qui meurt sur scène et donc sous les yeux des spectateurs, contribuent à rendre cette fin spectaculaire, et à démontrer la puissance divine.

Cette mort a clairement une dimension cathartique (purgation à visée morale) : Dom Juan meurt par le feu, élément purificateur, et on peut voir dans la sentence du Commandeur (« l’endurcissement au péché traîne une mort funeste, et les grâces du Ciel que l’on renvoie ouvrent un chemin à sa foudre. ») un rappel à valeur générale, qui vaut aussi pour les spectateurs : il est nécessaire de mener une vie vertueuse pour ne pas se retrouver en enfer.

            C – Quelle morale pour cette pièce ?

A bien des égards, le « deus ex machina » mis en place par Molière n’est guère crédible, car trop gros : les effets spéciaux et la force de ce châtiment sont exagérés, surtout pour une fin si rapide.

On peut par ailleurs se demander si Dom Juan est réellement puni par Dieu ou plutôt par des éléments de la superstition : le « spectre », la statue… Même si Molière fait appel à une imagerie chrétienne, avec une représentation de l’Enfer traditionnelle (« un brasier ardent », « de grands feux », « la terre s’ouvre »), la « foudre et les éclairs » font penser à la mythologie grecque ou romaine (Zeus ou Jupiter).

En outre, la réplique de Sganarelle, qui termine la pièce, vient tourner en ridicule le châtiment spectaculaire auquel le public vient d’assister. C’est le personnage qui tire la morale de la pièce et il est pourtant complètement décrédibilisé par ses propos et son rôle de bouffon.

Dom Juan, acte 5 scènes 5 et 6 : conclusion

C’est réellement un dénouement en demi-teintes que nous propose Molière dans les scènes 5 et 6 de l’acte V, à la fois inattendue et prévisible, comique et tragique, conformiste et subversive : le héros est bel et bien châtié pour son impiété, mais il a vécu une vie libre, loin des canons religieux, qu’il n’a jamais reniée.

On ne peut aujourd’hui savoir quelle était la position de Molière, et les éléments textuels tirent l’interprétation dans les deux sens.

Face à tant d’incertitudes, il ne reste que la mise en scène pour trancher : faut-il présenter Dom Juan en héros, fidèle jusqu’au bout à ses convictions ou en un être orgueilleux, qui s’obstine dans le déni et qui en paie le prix ? C’est cette ambiguïté qui rend la pièce si fascinante à lire et à monter en scène encore aujourd’hui.

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Amélie Vioux

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45 commentaires

  • Bonjour,je voulez vs remerciez enormement sur votre site gratuit ,qui aide l’eleve a prevoir l’ensemble des questions que lexaminateur peut interroger .Mais jai une question ,jai lu votre analyse, comment pourrais- je bien me preparer pour ce texte sachant que la problematique imposee par ;e prof est differente de la votre.jai pas bcp de temps pour rester sur un texte .Deja je suis entrains de faire un plan detaillee repondant sur la problematique du prof avec une intro et conclusion rediges.vous me conseillez de faire quoi ?

    merci bcp

  • Merci beaucoup pour ce plan ! En effet, ma prof. avait fait in plan vraiment simpliste ( I/ Le register fantastique II/ Le register tragique III/ Le registre comique) sans approfondir dans les raisons d’un tel mélange ou les effets que cela apporte… Merci Amélie !

  • Ce site et super vraiment et je sais que ça n’a surement rien à voir mais est-ce que quelqu’un sait pourquoi le spectre dans Dom Juan à l’aspect d’une femme voilé ? Pourquoi il prend l’aspect d’un temple ? et pourquoi le tragique n’est-il pas total ? Merci

    • Je sais pas si c’est trop tard mais l’aspect d’une femme représente toute les femmes que Don Juan à trompé et le faîte quelle soit voilé fait pensé à Don Elvir qui a sortit du couvent et donc, il à défier la religion encore une fois. Pour tes autres question je ne saurais pas répondre

  • Bonjour, comment-peut on dire que ce dénouement est une résolution des intrigues ? Votre plan est très bien réussit aussi, merci beaucoup.

  • Bonjour,
    Juste une petite précision à apporter, Dom juan (en italique) représente le titre de l’oeuvre de Molière. Alors que le personnage se nomme Don Juan.
    Sinon excellent site rien à dire!

  • Bonjour, dans le II-C de votre commentaire, vous évoquez le fait que les 3 unités ne sont pas respectées. Je suis d’accord pour les unités de lieu et de temps mais je ne comprends pas en quoi l’unité d’action n’est pas respectée.
    Merci

  • Bonsoir ! D’abord merci pour ce site qui va bien m’aider pour mon bac de français ! Je passe mon oral blanc de francais la semaine prochaine et ce texte est l’un de mes préférés ! Je pense que j’arriverais à répondre à toutes les problématiques , seulement il n’y a que la problématique « Quelle est la morale de ce dénouement ? » qui me pose problème ; je ne vois pas quel plan adapter à cette problématique (également avec votre plan à vous !) ? Je ne vois qu’un axe possible et j’ai peur de tomber sur cette problématique du coup est ce que je ne risque pas d’être hors-sujet si je rajoute un des axes autre que le III ?

  • bonjour je doit faire un commentaire de texte sur dom Juan la question est « pourquoi dom juan est il héroique et reste fidèle a ce idées » Merci d’avance de m’aider

  • Bonjour Amélie, je vous remercie d’abord pour cet aide gratuit. Je veux seulement vous demandez quels axes je prend si j’ai eu la troisième problématique (quels problèmes ce dénouement pose t-il à un metteur en scène)
    Si vous pouvez répondre ici ça sera bien mieux (pour moi et les autres).merci d’avance

  • Bonjour Amélie, je vous remercie vraiment pour toute l’aide que vous m’apportez, mais je voudrais savoir si ce dénouement n’apporte pas d’autres leçons que « il ne faut pas commettre de péchés et avoir une vie vertueuse pour ne pas aller en enfer ». Mon professeur m’a dit qu’il existait plusieurs leçons mais je n’en trouve pas d’autres… Merci d’avance pour votre réponse.

  • Je ne comprends pas très bien, cette scène ne résoudrait en fait pas vraiment les problèmes accumulés au fil du texte ? Alors que comme Dom Juan meurt et que tous les problèmes étaient liés à lui ils disparaîtraient en même temps que lui ?

  • Merci infiniment, vous nous sauvez la mise grâce à vos cours. J’ai également un lecture analytique à écrire pour ces deux scènes et j’avoue que je bloquais sur la signification des êtres surnaturels.
    Dorénavant, je penserai à faire un tour ici à chaque fois que je lis un classique!

  • Bonjour,
    Merci beaucoup pour ce que vous faites !! Cependant j’ai une petite question à vous posez… Quelle ouverture peut on assimiler à cette oeuvre ?

  • Bonjour Amélie,
    je tenais juste à vous signaler que bien que la pièce s’intitule « Dom Juan », le personnage est dans la tradition « Don Juan ».
    Sinon merci pour votre blog, c’est une bonne source complémentaire pour parfaire les études analytiques faites en classe!

  • bonjour, au bac blanc je suis tombée sur ce texte est la question posée,c’était: est-ce un dénouement de comédie? j’ai eu quelques difficultés pour y répondre. est ce que je peut dire que oui:la touche comique dans dénouement c’est le personnage de sganarelle qui l’apporte mais que c’est aussi un dénouement tragique car on s’y attendait, et que nous avons donc l’intervention du deus ex machina a travers la statut et le spectre.Ce qui renvoie à l’harmonie des contraires.
    Mon bac est dans 3 jours et je ne voudrais pas refaire la même erreur si je tombe sur ce texte.

  • bonjours, Amélie
    j’ai comme lecture analytique pour mon bac oral de français , les scènes 4,5,6 de l’acte V de Dom Juan.
    j’aime beaucoup votre méthode de commentaire, et pour cela j’aimerais bien utiliser votre cours. mais je ne sais pas comment relier la scène 4 a votre commentaire sur les scènes 5 et 6.

    merci d’avance pour votre réponse et votre aide.
    bonne journée

  • Est-ce-que, dans votre conclusion, l’ouverture est-elle présente? C’est celle de la mise en scène? Est-ce qu’on peut mettre la mise en scène en ouverture?

    • Oui, j’ai fait une ouverture sur la mise en scène. L’ouverture ne porte pas nécessairement sur un autre texte (ce type d’ouverture est souvent artificiel). Tu peux lire cet article pour connaître différents types d’ouverture possibles.

  • Bonjour Amélie,

    Je souhaitais vous remercier et vous féliciter pour tout le travail que vous fournissez! C’est un boulot monstre que vous faites, c’est vraiment remarquable.
    J’avais repéré votre site depuis mon entrée en seconde, et je l’ai utilisé tout au long de mon année de première. Il est à la fois clair, concis et bien présenté, tout ce qui plait. L’ensemble de vos élèves doivent être fiers de vous avoir comme professeure.

    Je vous souhaite une bonne journée,
    Bravo à vous.

    • J’ai pris la peine de rédiger une analyse de ces deux scènes : crois-tu vraiment que je vais en plus répondre à ta place à la problématique de ton professeur ? Lis les scènes en question, lis mon commentaire, et travaille.

      • bonjour je voulais vous remercier pour tout ce que vous faites grâce a vous et a votre fiche de lecture je réussi a avoir de 15 ou 18 sur 20
        merci beaucoup

  • Bonsoir j’ai une synthese a faire sur dom juan la question est : en quoi le mariage constitue t’il un ressort comique efficace dans cette piece ? Jai passée un bon bout de temps dessus et je m’en sors pas trop auriez vous des pistes a me donner ? Merci beaucoup 🙂

  • bonjour, je dois écrire une lecture analytique sur cette oeuvre, et en compilant des idées vus sur ce sites et d’autres, je me retrouve avec un commentaire composé
    pouvez vous me dire ce que je pourrais enlever
    j’ai également besoin d’aide pour ma dernière partie (un dénouement ambigü) je cherche des preuves dans les dernières scènes que Dom Juan mérite son châtiment
    merci

  • pour le titre de la première partie vous avez écrit la fin de dom Juan et la fin de dom Juan est ce une erreur de frappe où est ce cela a un signification particulière ?

    Merci bcp
    PS:: votre site est tout simplement extraordinaire et je ne vous remercierais jamais assez pour tout l’aide que vous m’apporter .

    • Bonjour Leila,
      Bonne question ! Ce titre est un jeu de mots : le fin de Dom Juan (sans italique) veut dire la fin du personnage de Dom Juan (il meurt). La fin de Dom Juan (en italique) signifie : la fin de la pièce de théâtre nommée Dom Juan.

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