Bel-Ami, Maupassant, excipit : commentaire

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bel-ami dénouement Voici le commentaire de l’excipit (dernière page) de Bel-Ami de Guy de Maupassant.

Bel-ami, Maupassant, excipit, introduction de commentaire

Bel-Ami écrit en 1885 par Guy de Maupassant, s’inscrit dans la tradition des romans d’apprentissage et retrace l’ascension sociale d’un personnage ambitieux, Georges Duroy.

En écrivain réaliste, Maupassant étudie l’âme de l’ambitieux pour critiquer une société bourgeoise obnubilée par la réussite sociale et l’argent.

Utilisant les femmes pour réaliser son ascension, Bel-ami passe toutes les étapes de l’ascension sociale et finit par épouser Suzanne Walter, la fille du patron du journal la Vie française dans lequel il a travaillé.

Cet excipit de Bel-ami marque la consécration d’un personnage arriviste (I) dans une société corrompue (II), ce qui conduit Maupassant à une peinture pessimiste de l’âme humaine (III)

Extrait étudié

Lorsque l’office fut terminé, il se redressa, et donnant le bras à sa femme, il passa dans la sacristie. Alors commença l’interminable défilé des assistants. Georges, affolé de joie, se croyait un roi qu’un peuple venait acclamer. Il serrait des mains, balbutiait des mots qui ne signifiaient rien, saluait, répondait aux compliments :  » Vous êtes bien aimable.  »
Soudain il aperçut Mme de Marelle ; et le souvenir de tous les baisers qu’il lui avait donnés, qu’elle lui avait rendus, le souvenir de toutes leurs caresses, de ses gentillesses, du son de sa voix, du goût de ses lèvres, lui fit passer dans le sang le désir brusque de la reprendre. Elle était jolie, élégante, avec son air gamin et ses yeux vifs. Georges pensait :  » Quelle charmante maîtresse, tout de même.  »
Elle s’approcha un peu timide, un peu inquiète, et lui tendit la main. Il la reçut dans la sienne et la garda. Alors il sentit l’appel discret de ses doigts de femme, la douce pression qui pardonne et reprend. Et lui-même il la serrait, cette petite main, comme pour dire :  » Je t’aime toujours, je suis à toi !  »
Leurs yeux se rencontrèrent, souriants, brillants, pleins d’amour. Elle murmura de sa voix gracieuse :  » A bientôt, monsieur.  »
Il répondit gaiement :  » A bientôt, madame.  »
Et elle s’éloigna.
D’autres personnes se poussaient. La foule coulait devant lui comme un fleuve. Enfin elle s’éclaircit. Les derniers assistants partirent. Georges reprit le bras de Suzanne pour retraverser l’église.
Elle était pleine de monde, car chacun avait regagné sa place, afin de les voir passer ensemble. Il allait lentement, d’un pas calme, la tête haute, les yeux fixés sur la grande baie ensoleillée de la porte. Il sentait sur sa peau courir de longs frissons, ces frissons froids que donnent les immenses bonheurs. Il ne voyait personne. Il ne pensait qu’à lui.
Lorsqu’il parvint sur le seuil, il aperçut la foule amassée, une foule noire, bruissante, venue là pour lui, pour lui Georges Du Roy. Le peuple de Paris le contemplait et l’enviait.
Puis, relevant les yeux, il découvrit là-bas, derrière la place de la Concorde, la Chambre des députés. Et il lui sembla qu’il allait faire un bond du portique de la Madeleine au portique du Palais-Bourbon.
Il descendit avec lenteur les marches du haut perron entre deux haies de spectateurs. Mais il ne les voyait point ; sa pensée maintenant revenait en arrière, et devant ses yeux éblouis par l’éclatant soleil flottait l’image de Mme de Marelle rajustant en face de la glace les petits cheveux frisés de ses tempes, toujours défaits au sortir du lit.

Questions possibles à l’oral de français sur l’excipit (fin de roman) de Bel-Ami :

♦ En quoi Bel-Ami est-il un roman d’apprentissage ?
♦ Quelle image Maupassant donne-t-il de Georges Duroy dans cette fin de roman ?
♦ En quoi cet excipit de Bel-Ami est-il satirique ?
♦ Cette fin de Bel-Ami est-elle optimiste ou pessimiste ?
♦ Le roman est-il vraiment fini ?

I – La consécration d’un personnage arriviste

A – Un triomphe symbolique

La fin de Bel-Ami est le récit du triomphe de Georges du Roy, un triomphe qui se rapproche d’un sacre impérial.

Le nom du personnage tout d’abord – Georges Du Roy – l’inscrit désormais dans le sillage de la royauté et de la noblesse par la particule « du ». Ses origines paysannes et normandes que trahissait son nom « Duroy » ne sont plus qu’un lointain souvenir.

Cette solennité se retrouve dans les mouvements lents et réguliers de George Du Roy. La lenteur de ses mouvements fait en effet penser à un défilé triomphal comme cela se pratiquait à Rome après la victoire d’un général : «il se redressa »,  « il passa », « retraverser l’église », « Il allait », «  il parvint », « descendit avec lenteur» .

Cette scène se rapproche ainsi d’un sacre impérial. D’ailleurs, dans un raccourci saisissant, Gorges Du Roy passe de l’ombre de l’église à « un éclatant soleil », comme s’il était au plus haut de sa gloire.

De plus, l’insistance de Maupassant sur la géographie parisienne « Concorde », « Madeleine », « Palais-Bourbon » inscrit le personnage au cœur de la capitale et des lieux de pouvoir et montre qu’il y défile en empereur.

Maupassant crée ainsi un parallélisme entre cette scène et le sacre de Napoléon Bonaparte en 1804. La « grande baie ensoleillée de la porte » semble couronner son visage de lumière auxquels succèdent les « frissons » du sacre. Les « haies de spectateurs » évoquées à la fin du roman concrétisent cette marche triomphale.

 B – Bel-ami : un vainqueur darwinien

Georges du Roy, en arriviste, est présenté comme un vainqueur, seul face au monde.

Cette opposition entre la foule et le personnage se manifeste à travers l’abondant champ lexical de la foule : « l’interminable défilé des assistants », « un peuple », « D’autres personnes », « La foule », « pleine de monde », « la foule amassée » , « foule noire , bruissante », « Le peuple de Paris », « spectateurs ».

Ce champ lexical est accentué par la comparaison « La foule coulait devant lui comme un fleuve ». La comparaison entre la foule et le « fleuve » ainsi que le verbe de mouvement « coulait » s’opposent à la stabilité de Georges du Roy.

De plus, le champ lexical de la foule montre que les personnes réunies sont anonymes et que seul Georges du Roy est sorti de cet anonymat.

Cette opposition entre un personnage qui a réussi triomphalement et le reste de la foule rappelle le darwinisme (de Charles Darwin), très influent au XIXème siècle. Le darwinisme montre que la sélection naturelle assure la survie des espèces en sélectionnant le plus fort. Or Georges du Roy semble avoir en cette fin de roman réussi à émerger de la foule parisienne comme si la loi du plus fort l’avait emporté.

Cette opposition entre lui et les autres est si forte que la foule finit par disparaître : « Il ne voyait personne. Il ne pensait qu’à lui ». La tournure négative dans ces deux phrases montre que le reste des parisien est effacé du champ de sa pensée tandis que la tournure restrictive « ne pensait qu’à » souligne un peu plus l’égocentrisme forcené du personnage.

L’alexandrin que constituent ces deux phrases (« Il ne voyait personne. Il ne pensait qu’à lui ») montre un lyrisme de la solitude. Le seul bonheur de Georges du Roy est d’être seul au centre du monde.

D’ailleurs, Georges du Roy est sujet de toutes les phrases comme dans le passage suivant : « Il sentait sur sa peau courir de longs frissons, ces frissons froids que donnent les immenses bonheurs. Il ne voyait personne. Il ne pensait qu’à lui. Lorsqu’il parvint sur le seuil, il aperçut la foule amassée, une foule noire, bruissante, venue là pour lui, pour lui Georges du Roy ».

Et lorsqu’il n’est pas sujet des phrases, Bel-ami est en position d’objet au centre des regards et des désirs « Le peuple de Paris le contemplait et l’enviait ». Il est donc au centre de tout.

Par ailleurs, le point de vue est interne : le lecteur voit la scène à travers le point de vue de Bel-ami qui s’exprime en discours indirect libre (« une foule noire, bruissante, venue là pour lui, pour lui Georges du Roy ») ou qui exprime ses pensées (« Quelle charmante maîtresse tout de même » ).

Grâce au point de vue interne, le lecteur entre dans la peau de Georges du Roy dans un processus d’identification.

Ce portrait de l’ambitieux donne lieu à une satire de la société.

II – Une satire sociale

 A – Les parisiens : une société théâtrale

Maupassant dresse la satire d’une société d’apparence où tout n’est que théâtre.

La mention de l’Opéra au début du texte place d’emblée la scène dans l’espace du spectacle.

Le champ lexical du regard (« aperçut», «yeux», «les voir passer», «assistants», «les yeux fixés», «il aperçut», «le contemplait», «relevant les yeux», «ses yeux éblouis», « l’image») souligne que la société bourgeoise du XIXème est une société où tout est spectacle et artifice.

Cette scène de roman est en réalité très proche d’une scène théâtrale, le terme de «spectateurs» faisait explicitement référence à un public dont Paris serait la scène et Georges du Roy le personnage principal.

La rencontre entre Georges du Roy et de Mme de Marelle est encadrée par l’entréeSoudain il aperçut Mme de Marelle») et la sortie du personnage («Et elle s’éloigna»). Ces précisions font l’effet de transitions scéniques.

Le dialogue entre Georges du Roy et Mme de Marelle est succinct et stéréotypé comme une réplique de théâtre comique «A bientôt, monsieur» / «A bientôt, madame», le parallélisme créant un comique de répétition.

Les compléments circonstanciels de moyen «de sa voix gracieuse» et «gaiment» jouent le rôle de didascalies et accentuent la dimension théâtrale d’une société où tous les comportements sont stéréotypés et uniformisés dans une pantomime bourgeoise que Maupassant exécrait.

B – Une société désacralisée

En outre, la société décrite par Maupassant est désacralisée.

Maupassant place cette scène au cœur de l’institution sacrée qu’est le mariage.

Pourtant, Suzanne Walter, l’épouse de Bel-ami ,n’est que très peu évoquée dans ce passage : elle est effacée ou ignorée.

Le champ lexical de la sensualité se déploie à la fin de texte au sujet de Mme de Marelle : «baisers», «caresses», «gentillesses », «goût de ses lèvres», «désir brusque», «jolie», « élégante», «air gamin», «charmante maîtresse», «appel discret», «douce pression», «petite main », «amour».

Georges du Roy désacralise donc le mariage.  Double de Don Juan, il ne cesse de jouer avec les femmes.

C’est d’ailleurs ce que souligne le nom de Mme de Marelle qui rappelle la marelle, ce jeu d’enfant où, comme l’arriviste, on s’élève de la terre au ciel.

Rien n’est sacré, tout est jeu dans cette société de la fin du XIXème corrompue par l’utilitarisme bourgeois et une désacralisation rampante qui gangrène tout.

III – Une peinture pessimiste de l’âme humaine

 A – Bel-ami : un arriviste insatiable

Cet excipit de Bel-Ami est une fausse fin de roman.

En effet, cette dernière page ne signifie pas la fin du parcours pour Georges du Roy. L’ambitieux va continuer son ascension comme le souligne le déplacement de son regard : « Puis, relevant les yeux, il découvrit là-bas, derrière la place de la Concorde, la Chambre des députés. »

Ce regard surplombant Paris et cette ambition politique sont une réécriture de l’excipit du Père Goriot de Balzac où Eugène de Rastignac prononce son célèbre défi à Paris « A nous deux maintenant !».

Georges du Roy est exactement dans cette posture de l’arriviste insatiable qui ne cesse de franchir les limites. Son attitude dans cet excipit donne l’impression qu’il n’est pas prêt à mettre fin au roman dont il est le héros : il franchit toutes les limites, y compris celles du roman de Maupassant lui-même !

Cet excipit semble ainsi être l’incipit d’un autre roman : celui de l’ascension politique de Georges du Roy. Le personnage symbolise ainsi le désir perpétuellement insatisfait.

Mais ce désir insatiable ne mène nulle part. Si on y regarde de plus près, l’excipit de Bel-Ami est placé sous le signe de la répétition. Bel-Ami se rappelle des «souvenirs» terme qui est répété à deux reprises dans le texte.

En outre, le texte est mû par un mouvement cyclique comme le montre le préfixe «re» dans de nombreux verbes qui suggère la répétition, la circularité et non la linéarité attendu dans le parcours d’un ambitieux : «redressa», «reprit», « retraverser l’église», «car chacun avait regagné», «relevant les yeux», «revenait», «rajustant».

Alors que sa trajectoire est linéaire et que l’ambitieux est normalement projeté vers le futur, on sent que Georges Duroy est comme retenu dans le passé. Discrètement, Maupassant nous fait sentir que  l’ambition n’était qu’un néant, une vanité inutile. Georges du Roy est proche de Sisyphe qui étape après étape revient au point de départ, la convoitise et le désir jamais rassasiés.

 B – Le regard ironique de Maupassant sur son personnage

Maupassant porte un regard ironique sur son propre personnage.

Tout d’abord, il joue sur le nom du personnage pour relativiser son ascension triomphale. Le «baron Georges du Roy» est nommé «Bel-ami» le surnom que lui a donné la fille de Mme de Marelle au début de son ascension, voire « Georges ».

Par ces dénominations, Maupassant ramène son personnage à ce qu’il est vraiment : un parvenu d’extraction paysanne dont la noblesse est factice.

Le champ lexical de l’illusion montre un personnage enivré par sa réussite : «croyait», «balbutiait des mots», «Il ne voyait personne», «il lui sembla», «il ne les voyait point», «ses yeux éblouis», «flottait l’image».

La parodie de conversion par l’adverbe « presque » (« presque croyant, presque religieux ») renforce son opportunisme car il est incapable d’une foi solide et sincère.

Ensuite, l’ambition de Georges Duroy, relatée au discours indirect libre, prend des formes délirantes qui font sourire le lecteur et qui ridiculisent le personnage : « l’Homme-Dieu, à l’appel de son prêtre, descendait sur la terre pour contempler le triomphe du baron Georges du Roy » !

Excipit de Bel-ami, conclusion

L’excipit de Bel-Ami campe le portrait de l’ambitieux insatiable.

Comme Eugène de Rastignac dans le Père Goriot, Georges du Roy défie Paris et le pouvoir.

Cet excipit appelle le début d’un autre roman. Mais à la différence de Balzac qui poursuit dans la Comédie humaine les aventures de Rastignac, ce second roman roman ne sera pas écrit. Une manière peut-être pour Maupassant, profondément pessimiste et nihiliste, de suggérer que cette ambition démesurée n’a aucun sens.

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Amélie Vioux

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30 commentaires

  • Bonjour Amélie,

    Vos analyses m’aident énormément pour mes révisions du bac de français, je vous en remercie. Allez-vous faire une analyse de l’extrait de la partie 1, chapitre 3 de Bel-Ami? Car nous l’étudions en classe et je le trouve très intéressant car il est sur l’émancipation féminine et le rapport de force inversé.

    Merci !

  • Bonjour Amélie !
    j vous félicite pour cette initiative positive qui nous permet de creuser le savoir grâce à votre sublime soutien .
    pourriez-vous me donner un exemple d’explication de texte littéraire écrit et oral ?
    Merci d’avance

  • Bon… Voilà : Ne dit-on pas « jamais deux sans trois » ?
    La fin du petit a de la troisième partie se conclut sur la comparaison de Georges Duroy et de Sisyphe. Sisyphe est-il bien celui de la mythologie Grecque?

    Merci encore et désolé de vous encombrer de ces 3 questions…

  • Ah, excusez-moi : une deuxième vient de poindre dans mon esprit : Qu’entendez-vous par « Pantomime bourgeoise »? Un spectacle où tout n’est qu’artifice comme annoncé plus haut ?

  • Bonjour,

    Merci encore pour cette analyse de grande qualité!
    Juste une question : Comment définiriez-vous le terme « consécration »?

    « Au-delà du lit de lait de l’Aude élue, un énorme orme étendait sa sombre ombre… »

    • Bonjour Calvin,
      Il ne m’est pas possible de faire de l’aide aux devoirs dans les commentaires de ce blog. En revanche, Je t’invite à lire mes articles sur l’écriture d’invention et à t’inscrire à ma formation gratuite en 10 leçons : la première leçon porte justement sur l’écriture d’invention. Bon courage !

  • Bonjour Amélie je tiens à vous remercier pour le contenu fournis , aussi je vous demande pourquoi vous n’avez pas étudier en profondeur l’ascension sociale de Duroy à l’aide des femmes ( donc suzanne walter est les autres ) et les objectifs de duroy atteint (la renommée , la richesse ) merci de votre réponse .

  • Bonjour Amélie,

    Merci de mettre en ligne un travail aussi fourni en libre accès.
    J’ai quelques questions par rapport à l’organisation de ton commentaire et à l’organisation des commentaires en général :

    – Il me semble presque toujours difficile de faire trois parties intéressantes, la plupart du temps je n’arrive à en faire que deux, sommes nous vraiment obligés d’en faire trois ? A-t-on moins de chance d’obtenir une bonne note avec seulement deux axes ?

    – Dans ton commentaire, les parties I et III sont très proches et je ne vois pas pourquoi on diffère ainsi l’analyse de l’arrivisme de Du Roy : dans le seul but de faire trois parties ? Si je devais reformuler ma question, ce serait comme ça : qu’est-ce qui justifie que ta Ière partie soit différée de la IIIème ?

    Merci

    • Un plan en trois parties n’est pas obligatoire. Dans mon commentaire, je ne développe pas du tout les mêmes éléments dans le I et le III. Mon troisième axe met à jour les intentions plus subtiles de Maupassant : sa vision des hommes, son ironie sur le personnage principal.

  • bonjour , est ce que c’est possible de donner un exemple d’un dujet d’ivention de la suite Du Roman bel ami ? c’est très important pour moi car depuis le début de l’année on ne travaille que sur Bel ami
    Merci d’avance

  • Super article pour nous aider a faire un commentaire !
    Je voulais juste faire une remarque : Suzanne Walter n’est-t-elle pas la fille cadette du patron (plutot que son ex femme) ?

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