Le Cid, Corneille, acte I scène 6 : commentaire

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le cid corneille acte 1 scene 6Voici une analyse de l’acte 1 scène 6 du Cid de Corneille (le monologue délibératif de Rodrigue).

Lire l’acte I scène 6 du Cid (le texte)

Le Cid, acte I scène 6, Introduction :

Le Cid, tragi-comédie de Pierre Corneille jouée pour la première fois en 1637, raconte comment Don Rodrigue, jeune et valeureux noble de la cour d’Espagne et amant de Chimène, se voit contraint de faire un choix entre amour et honneur.

Nous allons étudier la scène 6 de l’acte 1. Rodrigue vient de s’entretenir avec son père, Don Diègue, qui lui apprend qu’il a été terriblement humilié par le père de Chimène. Don Diègue demande à son fils de le venger.

Rodrigue, seul sur scène, doit choisir entre sauver l’honneur de sa famille et conserver l’amour de sa maîtresse.

Le choix paraît impossible : c’est ce qu’on appelle le dilemme Cornélien.

Cette scène est fondamentale pour le reste de la pièce puisque la suite de l’action dépend du choix que fera Rodrigue.

Questions possibles à l’oral sur l’acte 1 scène 6 du Cid :

♦ En quoi la forme du monologue exprime-t-elle le tragique de la situation ?
♦ En quoi le monologue de Rodrigue est-il délibératif ?
♦ Comment cette scène 6 de l’acte I exprime-t-elle le conflit intérieur de Rodrigue ?
♦ En quoi Rodrigue peut-il être considéré comme un héros tragique ?
♦ Qu’est-ce qui fait la force de cette scène ?

Nous allons montrer comment la scène 6 de l’acte I du Cid exprime à travers un monologue poétique (I) le débat intérieur de Rodrigue qui doit choisir entre deux systèmes de valeurs (II), et comment le personnage parvient à une résolution héroïque de ce conflit (III).

I- Un monologue poétique pour illustrer le déchirement intérieur

A- Un choix poétique : les stances

Corneille choisit pour la mise en scène du dilemme de Rodrigue une forme poétique particulière qui met en relief le conflit intérieur.

Tandis que la pièce est majoritairement écrite en alexandrins (vers de 12 pieds), le monologue de Rodrigue est composé de stances.

Les stances sont composées de strophes hétérométriques (dont les vers ont des longueurs différentes), et soumises à des contraintes très précises.

Elles sont utilisées, au théâtre, pour suspendre l’action et laisser libre cours à l’expression lyrique d’un personnage.

Dans la scène 6 de l’acte I du Cid, chaque stance est composée comme ceci :

♦ Un quatrain découpé en un octosyllabe (vers de 8 pieds) et trois alexandrins, avec rimes embrassées (ABBA)

♦ Un distique (strophe de deux vers) composé d’un alexandrin et un hexasyllabe (vers de six syllabes) dont les rimes sont plates (AABB)

♦ Un quatrain composé d’un décasyllabe, un hexasyllabe et deux décasyllabes à rimes croisées (ABAB)

Ces stances permettent de faire une pause dans l’action en développant les sentiments de Rodrigue.

Le dramaturge met en effet à profit l’hétérométrie des stances pour jouer sur le rythme.

Ainsi les vers les plus courts permettent à Rodrigue d’exprimer son émotion à travers des exclamations ou des plaintes : «Percé jusqu’au fond du cœur», «O Dieu l’étrange peine», «Que je sens de rudes combats», «Tout redouble à ma peine».

Par ailleurs, les vers courts produisent des effets de « chute » qui mettent en valeur l’émotion de Rodrigue.

Les vers plus longs permettent quant à eux de développer le raisonnement et d’établir les conséquences du choix qu’il doit faire, par exemple : «Il faut venger un père ou perdre une maîtresse», «L’un me rend malheureux, l’autre indigne du jour».

B- Une émotion intense

Rodrigue s’exprime dans un registre lyrique.

Le discours de Rodrigue est ainsi ponctué de phrases interrogatives : «M’es-tu donné pour perdre ma Chimène ?» ou exclamatives : «Mourir sans tirer ma raison ! » qui soulignent la puissance de son trouble intérieur.

On observe l’emploi très présent de la première personne, à travers l’utilisation du pronom personnel «je» : «Je demeure» , «Je sens» , «Je dois» , «J’attire» , et des adjectifs possessifs «mon» et «ma» : «mon père», «ma Chimène» .

On constate également, associée à la première personne, une exaltation du sentiment amoureux, à travers :

♦ Le champ lexical de l’amour, présent dans tout le monologue : «mon cœur», «mon amour», «maîtresse», «amoureuse».
♦ Les métaphores traditionnelles de l‘amour : «mon feu», «ma flamme».

C – Un monologue pathétique

Mais l’amour dans cette scène est lié à la perte et le monologue de Rodrigue est un discours pathétique.

Les stances sont ponctuées par  la reprise à chaque strophe de la rime «peine» / «Chimène» qui fait office de refrain et souligne l’inéluctable perte de Chimène pour Rodrigue. Le terme «maîtresse» mis à la rime avec «tristesse» accentue encore cette perte.

Les stances de Rodrigue ont pour but d’émouvoir le public qui assiste au déchirement du personnage.

On retrouve donc le champ lexical de la souffrance : «malheureux», «triste»,  «Misérable», «mal», «peine».

De nombreuses hyperboles témoignent de la violence de la douleur ressentie : «atteinte […] mortelle», «coup qui me tue», «mon mal est infini».

Cette douleur est d’autant plus violente qu’elle prend la forme d’un châtiment divin inévitable comme le souligne la répétition du vers «O Dieu l’étrange peine».

Rodrigue se présente au début du monologue comme impuissantmalheureux objet»), victime d’un coup du sortatteinte imprévue»)  alors qu’il touchait au but, puisque le père de Chimène avait approuvé leur union («si près de voir mon feu récompensé») . Cela accentue le sentiment d’injusticeinjuste rigueur») qu’il ressent.

Quelle que soit la solution choisie par Rodrigue, il sera malheureux : «Tout redouble à ma peine».

II- Le dilemme Cornélien : un débat entre deux systèmes de valeurs

A- Un discours fondé sur une opposition

Rodrigue, sommé de choisir entre l’honneur et l’amour, est tiraillé entre deux types de devoirs qu’il estime aussi importants l’un que l’autre. Le devoir envers sa famille, et notamment son père et le devoir envers sa maîtresse : «Je dois à ma maîtresse aussi bien qu’à mon père».

Aussi, les stances sont construites autour d’une opposition entre les deux systèmes de valeurs : Amour et Honneur.

Cette opposition est mise en valeur par un rythme binaire qui se déploie notamment grâce à plusieurs figures de style : les antithèses et les oxymores.

Les nombreuses antithèses dans l’acte I scène 6 du Cid mettent en relief la violence du débat qui agite Rodrigue (exemple : « juste » / « injuste » ; « honneur » / « amour » ; « cœur / « bras » )

Les arguments contradictoires se retrouvent parfois opposés au sein du même vers : «Contre mon propre honneur mon amour s’intéresse». Ici, les deux systèmes de valeur sont rassemblés à la césure, ce qui les met en valeur.

Ensuite, ces antithèses sont mises en relief par des parallélismes :

Entre deux vers :
A l’aide d’une anaphore : «Faut-il laisser un affront impuni ?» / «Faut-il punir le père de Chimène» , ou d’une polysyndète «Réduit au triste choix, ou de trahir ma flamme / Ou de vivre en infâme» (la polysyndète est la répétition d’une conjonction de coordination devant chaque terme d’une énumération).

Au sein du même vers, notamment dans les alexandrins coupés par la césure à l’hémistiche : «l’un m’anime le cœur, l’autre retient mon bras» , «l’un me rend malheureux, l’autre indigne du jour».

Enfin, on observe la présence d’oxymores (juxtaposition de termes opposés) qui soulignent la violence du choix inconcevable que doit faire Rodrigue : «noble contrainte», «aimable tyrannie», «cher et cruel espoir».

B- Un monologue délibératif

Rodrigue doit cependant trancher et son monologue, bien que poétique, est également un exemple d’art oratoire.

L’organisation des stances (une idée pour une strophe) permet au dramaturge de dérouler la pensée du personnage. La scène 6 de l’acte I suit toutes les étapes traditionnelles d’un raisonnement délibératif.

Ainsi, la première strophe correspond à l’exorde. Rodrigue sous le choc («immobile»),  exprime sa stupeur et résume sa situation : «En cet affront mon père et l’offensé / Et l’offenseur le père de Chimène !» .

La deuxième et la troisième strophe correspondent à une phase de questionnement appelée la narration.

Rodrigue développe les arguments des deux systèmes de valeurs par une série de questions.

Les antithèses sont les plus nombreuses au sein de ces deux strophes. Le trouble se lit également dans l’accumulation d’oxymores «Père, maîtresse, honneur, amour» qui mêle les deux systèmes de valeurs en les réduisant à leur plus simple expression.

La quatrième strophe fait office de confirmation. Rodrigue semble avoir fait un choix : celui de la fuite dans la mort : «Il vaut mieux courir au trépas».

La cinquième strophe est la réfutation de la confirmation précédente. Composée d’une série d’exclamations, elle montre que l’idée précédente est inacceptable : «Rechercher un trépas si mortel à ma gloire !» .

Enfin la sixième strophe est le couronnement du discours : la péroraison.

C’est dans cette dernière strophe que Rodrigue met fin au conflit. Le caractère définitif de sa décision se lit dans l’emploi de l’impératif (« courons à la vengeance ») et dans le choix de deux derniers vers à la forme affirmative «Puisqu’aujourd’hui mon père est offensé / Si l’offenseur est le père de Chimène», qui viennent clore le débat.

Ainsi le monologue de Rodrigue est bien construit comme un monologue délibératif selon les règles du discours rhétorique.

III- Une résolution héroïque du conflit

Rodrigue, après avoir pesé le pour et le contre dans ses questionnements (strophes trois et quatre), va trancher et prendre une décision irrévocable.

A- La reprise en main de son destin

D’abord désigné comme la victime d’un destin, «l’objet», Rodrigue fait un premier choix qui lui permet de redevenir acteur de sa destinée.

Il semble, dans la strophe quatre, choisir la mort, dont on retrouve le champ lexical : «trépas», «mourir», «mourons».

La mort paraît à ce moment précis la seule issue possible.

En effet, le chiasme suivant permet de constater que le personnage a de toute façon perdu Chimène :
«J’attire en me vengeant sa haine et sa colère, / J’attire ses mépris en ne me vengeant pas».

Haine, colère ou mépris sont les seuls sentiments qu’aura désormais Chimène à son égard, ce qui justifie selon lui le choix de la mort.

Sa détermination transparaît à travers les impératifs : «Allons mon âme», «Mourons».

B- Le sacrifice héroïque de Rodrigue

A peine l’idée du suicide formulée, Rodrigue la repousse violemment par une série de quatre exclamations (à la cinquième strophe), mises en exergue par les infinitifs : «Mourir», «Rechercher», «Endurer», «Respecter», qui accentuent la vivacité de sa réaction.

En effet, Rodrigue, qui avait placé dans un premier temps les devoirs envers sa famille sur le même plan que les devoirs envers sa maîtresse, finit par considérer que l’honneur est plus important.

Cela se lit dans le parallélisme entre les deux vers : «Je dois à ma maîtresse aussi bien qu’à mon père» / «Je dois tout à mon père avant qu’à ma maîtresse». Le terme maîtresse qui apparaît d’abord dans le premier hémistiche est relégué au second.

Chimène qui était omniprésente depuis le début des stances disparait à la fin du monologue : «puisqu’après tout, il faut perdre Chimène».

Rodrigue choisit donc des valeurs héroïques et se sacrifie pour le bien de sa «maison». En cela, il fait preuve de générosité, de loyauté «je rendrai mon sang pur comme je l’ai reçu» et d’abnégation : «Que je meure au combat ou meure de tristesse», «Je m’accuse déjà de trop de négligences», «Tout honteux d’avoir tant balancé».

Les impératifs montrent la résolution de Rodrigue : «Courons», «Ne soyons plus en peine». La dernière strophe commence par le mot «Oui» qui prouve que le personnage est décidé.

En choisissant les valeurs héroïques de l’honneur et de la gloire, Rodrigue ne renie pas pour autant celles de l’amour. En effet, s’il choisit l’honneur c’est aussi parce qu’il estime que l’amour mérite la gloire et qu’il ne peut y avoir d’amour noble si l’on n’en est pas digne.

Le Cid, acte I scène 6, conclusion :

Les stances de Rodrigue mettent en scène un débat intérieur avec beaucoup de poésie. Rodrigue, à l’esprit organisé et rigoureux, parvient à surmonter sa peine pour se sacrifier et naître ainsi en héros tragique.

On peut remarquer que les héros tragiques de Corneille diffèrent des héros tragiques de Racine. Alors que les personnages de Racine sont victimes de la fatalité et de leurs passions dont ils ne sont plus maîtres (voir l’acte I scène 3 de Phèdre), le héros cornélien fait lucidement le choix de la raison sur celui de la passion.

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Phèdre, Racine, acte 5 scène 6 : commentaire
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Amélie Vioux

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39 commentaires

  • Bonjour Amélie,

    A propos de l’acte II scène 2 (Un duel oratoire), comment expliquez-vous la disposition particulière des vers?
    Merci de votre retour.
    Bien cordialement.

  • Bonjour Amélie.
    Je n’ai pas compris un passage de la scène 6 du Cid. En effet Rodrigue dit à un moment:  » A mon plus doux espoir l’un me rend infidèle, l’autre indigne d’elle « . A quoi correspond l’un et l’autre ? Est ce que Rodrigue devient indigne d’elle en choisissant de ne pas tuer pas son père et donc de perdre sa réputation et infidèle du coup envers son père en ne le vengeant pas. Ou alors est ce qu’il est infidèle envers Chimène en tuant son père et indigne d’elle d’avoir tué son père. En effet je ne vois pas à quoi correspondent les termes  » infidèle  » et « indigne ».

    • il devient infidèle à chimène en tuant son père (car c’est une manière de la trahir), et indigne d’elle si il ne venge pas son père, car comme tu l’a dit l’honneur avait une très grande place à l’époque.

  • Bonjours, merci pour tout ce que vous faites pour nous, jeunes de première qui galèrent au bac.
    Mais il me semble qu’il y a une erreur dans la sous-partie B du I :
    La deuxième citation ne serait pas plutôt : « Mourir sans tirer ma raison ! » et non « Mourir sans tirer ma passion ! »
    Merci encore pour tout !

  • Merci bcp vous m’avez beaucoup aider mais j’ai une question
    -Quel evolution on repere dans l’emploi des pronoms personnels et que traduit-elle ?

  • Merci beaucoup pour ce site super intéressant 🙂

    J’ai une petite question, je ne vois pas de problématique dans l’introduction du commentaire… J’ai du mal cherché mais du coup je m’interroge.

    Voilà merci d’avance

  • Coucou Jeanne!
    Ce n est pas Amelie qui te repond mais une ancienne candidate au bac de Francais!
    Alors le mouvement baroque prône le mouvement en general, c est-à-dire que rien n est figé, tout bouge et est irregulier. On peu le symboliser par exemple avec l eau aui a un mouvement continuel. Pour mieux comprendre c est tout l opposé du classicisme qui quant à lui prône l ordre, les memes dimensions…
    L illusion est une des caracteristiques du Baroque c est notmamment representé par les effets d impressions, de trompe l oeil comme par exemple les cathedrales baroques.
    L illusion comme son nom l indique nous donne une fausse impression.

    J espere que je t aurai aidée!!!

    Zoé

  • Bonsoir Amélie, pourriez-vous m’expliquer ce qu’est le mouvement baroque en litterature et notamment l’importance de l’illusion dans ce mouvement s’il vous plait ? Merci beaucoup

  • merci mais ma question est la suivante:  » De combien de strophes se composent les stances ? Indiquer, pour chacune, le nombre et les types de vers, les types de rimes utilisés ?  » J’ai répondu à la 1ère partie de la question mais pour la 2ème je ne comprends pas ce que la question attends de moi. pouvez-vous m’aider svp ?

  • Merci beaucoup amelie !!! Ton site est superbe !!!!! Il m’aide grave parce que j’ai mon oral blanc de francais dans 1 semaine!!!!! je l’ai déjà recommandé à plusieurs de mes amies! !!

  • Chère Amélie

    Merci beaucoup pour tes commentaires, très utiles et complètes!

    Une question qui nous inquiet depuis hier: pourquoi Cinna est une tragédie (bien qu’il est à fin heureuse) par contre Le Cid est appelé une tragi-comédie (aussi à fin heureuse)?

  • Bonjour Amélie,
    Je vous remercie infiniment pour tous les commentaires de texte que vous faites, et plus particulièrement pour cette analyse du Cid. J’ai été interrogée à mon oral sur cet extrait et mon analyse était basée sur la vôtre, et j’ai eu 18/20 à mon oral !! Je ne m’étais jamais imaginée obtenir une note aussi bonne… Merci infiniment Amélie !!!!

  • Merci beaucoup pour tout ce que vous faites Amélie. J’ai une question à la lecture de votre analyse sur le CID ACTE I scène 6 : pourquoi peut on dire que les strophes sont constituées de quatrains et de distiques alors que le quatrain est censé être une strophe de 4 vers ? (en gros pour moi il y avait 6 strophes de 10 vers. )
    Merci d’avance pour votre réponse Amélie.

  • Bonsoir, j’aimerais savoir si l’évocation du « héros cornélien » fait obligfatoirement référence à Rodrigue ou si ce terme peut s’étendre, et si on peut en parler ds une autre oeuvre (par exemple: ce personage est en proie à un dilemne cornélien)
    Merci d’avance pour votre réponse, et pour tout ce site merveilleux !! 😉

  • Bonsoir Amélie! Juste un petit message, la moindre des choses, pour te remercier pour tout l’investissement que tu as fourni pr ce site!
    Merci infiniment, tu nous sauves la vie, dès le moment où il nous manque un détail …
    Merci encore! 😀

  • j’ai trouvé votre site tres utile pour mes textes de francais. cux que je vais présenter sont presque tous sur le site.
    toutes les informations y sont. je vous remercie!

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