Rhinocéros, Ionesco, acte II tableau 2 : commentaire

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rhinocéros ionesco métamorphose de jean commentaireVoici le commentaire de l’acte II tableau 2 de Rhinocéros de Ionesco (la métamorphose de Jean).

L’extrait analysé ici va de « Réfléchissez, voyons » jusqu’à « je te piétinerai » .

Rhinocéros, acte 2 tableau 2 : introduction

Œuvre majeure du théâtre de l’absurde, Rhinocéros d’Eugène Ionesco (1959) met en scène une épidémie imaginaire de « rhinocérite » qui transforme les humains en rhinocéros.

Cette épidémie doit se lire comme une allégorie : elle symbolise la montée des totalitarismes au XXème siècle.

Cet extrait issu du tableau II de l’acte 2 met en scène la métamorphose de Jean, un personnage rigide et moralisateur qui cède pourtant à la maladie.

Questions possibles à l’oral :

♦ Montrez comment Ionesco utilise des procédés dramaturgiques pour montrer la transformation de Jean.
♦ Par quels procédés le passage de l’humanité à l’animalité est-il montré ?
♦ Décrivez les étapes de la transformation de Jean.
♦ Quels sont les systèmes de valeurs qui s’affrontent dans le tableau 2 de l’acte 2 ?

Extrait étudié :

BÉRENGER. Réfléchissez, voyons, vous vous rendez bien compte que nous avons une philosophie que ces animaux n’ont pas,
un système de valeurs irremplaçable. Des siècles de civilisation humaine l’ont bâti !…
JEAN, toujours dans la salle de bains. Démolissons tout cela, on s’en portera mieux.
BÉRENGER. Je ne vous prends pas au sérieux. Vous plaisantez, vous faites de la poésie.
JEAN. Brrr… (Il barrit presque.)
BÉRENGER. Je ne savais pas que vous étiez poète.
JEAN, (Il sort de la salle de bains.) Brrr… (Il barrit de nouveau.)
BÉRENGER. Je vous connais trop bien pour croire que c’est là votre pensée profonde. Car, vous le savez aussi bien que moi,
l’homme…
JEAN, l’interrompant. L’homme… Ne prononcez plus ce mot !
BÉRENGER. Je veux dire l’être humain, l’humanisme…
JEAN, L’humanisme est périmé ! Vous êtes un vieux sentimental ridicule. (Il entre dans la salle de bains.)
BÉRENGER : Enfin, tout de même, l’esprit…
JEAN, dans la salle de bains : Des clichés ! vous me racontez des bêtises.
BÉRENGER : Des bêtises !
JEAN, de la salle de bains, d’une voix très rauque, difficilement compréhensible : Absolument.
BÉRENGER : Je suis étonné de vous entendre dire cela, mon cher Jean ! Perdez-vous la tête ? Enfin, aimeriez-vous être
rhinocéros ?
JEAN : Pourquoi pas ? Je n’ai pas vos préjugés.
BÉRENGER : Parlez plus distinctement. Je ne vous comprends pas. Vous articulez mal.
JEAN, toujours de la salle de bains : Ouvrez vos oreilles !
BÉRENGER : Comment ?
JEAN : Ouvrez vos oreilles. J’ai dit : pourquoi ne pas être rhinocéros ? J’aime les changements.
BÉRENGER : De telles affirmations venant de votre part… (Bérenger s’interrompt, car Jean fait une apparition effrayante. En effet, Jean
est devenu tout à fait vert. La bosse de son front est presque devenue une corne de rhinocéros.) Oh ! vous semblez vraiment perdre la
tête ! (Jean se précipite vers son lit, jette les couvertures par terre, prononce des paroles furieuses et incompréhensibles, fait entendre des
sons inouïs.) Mais ne soyez pas si furieux, calmez-vous ! Je ne vous reconnais plus.
JEAN, à peine distinctement : Chaud… trop chaud. Démolir tout cela, vêtements, ça gratte, vêtements, ça gratte. (Il fait tomber le
pantalon de son pyjama.)
BÉRENGER : Que faites-vous ? Je ne vous reconnais plus ! Vous si pudique d’habitude !
JEAN : Les marécages ! les marécages !
BÉRENGER : Regardez-moi ! Vous ne semblez plus me voir ! Vous ne semblez plus m’entendre !
JEAN : Je vous entends très bien ! Je vous vois très bien ! (Il fonce vers Bérenger tête baissée. Celui-ci s’écarte.)
BÉRENGER : Attention !
JEAN, soufflant bruyamment : Pardon !
Puis il se précipite à toute vitesse dans la salle de bains.
BERENGER fait mine de fuir vers la porte de gauche puis fait demi tour et va dans la salle de bains à la suite de Jean en disant : je ne
peux tout de même pas le laisser comme cela, c’est un ami. (de la salle de bains) Je vais appeler le médecin ! C’est
indispensable, indispensable, croyez-moi.
Jean, de la salle de bains : Non.
BERENGER, dans la salle de bains : Si. Calmez-vous, Jean ! Vous êtes ridicule. Oh ! votre corne s’allonge à vue d’œil !… Vous
êtes rhinocéros.
JEAN (dans la salle de bains) : Je te piétinerai ! Je te piétinerai !

Rhinocéros, Ionesco, acte II, tableau II

Annonce du plan :

Nous verrons dans cette lecture analytique que la métamorphose de Jean est fortement théâtralisée (I) et rend la communication entre les deux personnages impossible  (II). Enfin, nous verrons que cette scène s’articule autour de l’opposition de deux systèmes de valeurs (III).

I – Une métamorphose fortement théâtralisée

Cet extrait du tableau 2 de l’acte II de Rhinocéros pose un problème de mise en scène : comment montrer la transformation de Jean sur scène ? L’usage de différents procédés dramaturgiques dans ce passage permet une représentation ingénieuse de cette métamorphose.

A – L’utilisation de l’espace scénique

Le texte mentionne la présence de deux espaces : la chambre et la salle de bain.

La chambre représente un espace ouvert par opposition à la salle de bain qui est simplement suggérée par une porte au fond de la chambre. Cette salle de bain se situe donc en dehors de l’espace scénique : le spectateur n’y a pas accès.

Ces deux lieux sont utilisés de façon ingénieuse :

D’un point de vue technique, la salle de bain, en dehors de l’espace scénique, permet à l’acteur de procéder aux changements physiques de sa transformation.

A chaque réapparition de Jean, le spectateur va pouvoir constater les différentes étapes du processus de métamorphose.

Ce processus de transformation est d’ailleurs souligné par la répétition du verbe « devenir » dans les didascalies : « Jean est devenu tout à fait vert, la bosse de son front est presque devenue une corne de rhinocéros ».

B – Des personnages en mouvement permanent

La mise en scène de la métamorphose repose également sur le jeu des acteurs qui sont en mouvement permanent.

En effet, Jean fait un va-et-vient constant entre la chambre et la salle de bain, ce qu’on peut voir à travers les didascalies : « toujours dans la salle de bain », « il sort de la salle de bain », « il entre dans la salle de bain », « Jean fait une apparition », « il se précipite à toute vitesse dans la salle de bain ».

On observe la présence de nombreux verbes de mouvements et d’action : « jette », « fait tomber », « fonce », « se précipite », « entre » etc. Jean ne tient pas en place. Il devient violent dans ses gestes.

Bérenger se déplace également plusieurs fois. Au début de l’extrait, il se tient dans la chambre mais envisage la fuite : « fait mine de fuir vers la porte de gauche ».

Finalement il rejoint Jean dans la salle de bain et se soustrait donc au regard du spectateur.

A la fin de l’extrait le public n’a donc que les voix des acteurs (« de la salle de bain », « dans la salle de bain ») et les déclarations descriptives de Bérenger : « Vous êtes rhinocéros », pour comprendre le déroulement de la situation.

Ces déplacement constants suivis de la disparition finale des personnages dans la salle de bain, hors de l’espace scénique, participent à la montée de l’angoisse dans cette scène.

C – Une transformation physique à portée symbolique

La transformation physique de Jean est donc rendue possible d’un point de vue technique par l’utilisation de la salle de bain en hors-scène.

Cette transformation se matérialise physiquement par deux éléments : la couleur et la corne.

La peau de Jean a pris une couleur verte ce qui pourrait, si cet élément était le seul, laisser penser à une maladie : « Je vais appeler le médecin ! ».

Cependant, l’élément le plus inquiétant de la transformation est la corne qui symbolise le danger de l’animal. C’est ainsi « tête baissée », comme chargerait un rhinocéros, que Jean fonce sur Bérenger.

Cette corne, symbole d’agressivité et de brutalité, achève la métamorphose : « Oh ! Votre corne s’allonge à vue d’œil ! … Vous êtes rhinocéros. »

II – Un dialogue impossible

A – La dislocation du langage

La transformation de Jean perturbe son comportement, mais affecte aussi sa parole : il éprouve de plus en plus de difficultés à s’exprimer.

Le personnage utilise d’abord des phrases de plus en plus courtes : « J’aime le changement », « Je vous entends très bien ».

Puis il ne recourt plus qu’à des phrases nominales ou adverbiales et à de nombreuses répétitions : « Chaud… trop chaud » , « Les marécages ! Les marécages ! »

Enfin, Jean perd ses facultés et n’est plus capable de construire des phrases syntaxiquement correctes : « Démolir tout cela, vêtements, ça gratte, vêtements, ça gratte. »

Par ailleurs ses paroles sont ponctuées de barrissements et de bruits signalés à la fois par des onomatopées (« Brrr… », « Brrr… » ) mais aussi par les didascalies (« Il barrit presque », « Il barrit de nouveau », « Soufflant bruyamment », « fait entendre des sons inouïs » ).

B – L’impossibilité pour Jean et Bérenger de communiquer

Les deux personnages éprouvent les plus grandes difficultés à communiquer.

Tout d’abord, l’analyse des pronoms personnels permet de constater que les deux amis divergent assez rapidement dans leur discours.

En effet, le pronom personnel « nous » est employé au début de l’extrait par Bérenger : « nous avons une philosophie que ces animaux n’ont pas ». Dans ce « nous », Bérenger englobe Jean  – et les humains en général –  en les opposant aux rhinocéros.

Cependant, le discours de Jean contredit bien vite cette vision des choses : « démolissons tout cela ». Lorsqu’il recourt au « nous », Jean propose en réalité à Bérenger de le rejoindre dans sa condition de rhinocéros – contre la civilisation humaine.

Par la suite, le « nous » est remplacé par une confrontation entre le « je » et le « vous » : « Je vous connais trop bien » , « je n’ai pas vos préjugés » etc. Les deux amis divergent.

Les phrases employées sont très souvent exclamatives ou interrogatives, traduisant tantôt l’agacement de Jean (« Ne prononcez plus ce mot ! » ), tantôt l’incompréhension de Bérenger (« Perdez-vous la tête ? » ).

De plus, la brutalité de Jean rend le dialogue difficile.

Jean s’exprime en effet par des phrases impératives et exclamatives (« Ne prononcez plus ce mot !« , « Ouvrez vos oreilles ! » ) et se met dans une colère furibonde (« prononce des paroles furieuses et incompréhensibles » ).

Le dialogue est donc marqué par une forte tension. Les répliques s’enchaînent rapidement avec une reprise du dernier mot utilisé : « l’humanisme… » – « L’humanisme est périmé ! » « Des clichés ! vous me racontez des bêtises » – « Des bêtises ! »

Par ailleurs, la détérioration progressive du langage de Jean rend son discours inintelligible pour Bérenger qui l’annonce clairement : « Parlez plus distinctement. Je ne vous comprends pas. Vous articulez mal. » ou encore « Comment ? ».

C – L’impuissance de Bérenger

Bérenger est totalement impuissant face au comportement de Jean.

Il tente d’abord d’opposer à son ami la raison (« Réfléchissez voyons » ), mais ne parvient pas à construire une argumentation solide, ce qui se traduit dans le texte par l’utilisation des points de suspension.

En effet, Bérenger ne va pas au bout de ses arguments :

♦ Soit parce qu’il est interrompu par Jean ou par sa propre surprise devant l’apparence de Jean : « Car vous le savez aussi bien que moi, l’homme… » ou « De telles affirmations venant de votre part… » ;
♦ Soit parce que lui même ne développe pas son idée : « Des siècles de civilisation humain l’ont bâti !… » ou « Je veux dire l’être humain, l’humanisme… » ou encore « Enfin tout de même, l’esprit… »

Par ailleurs il existe un décalage entre l’état de Jean et la réaction de Bérenger, qui ne semble pas prendre conscience de la gravité de la situation.

En effet, aux barrissements de Jean qui traduisent la gravité de son état, Bérenger répond par l’humour : « Je ne savais pas que vous étiez poète ». Il reste dans le déni : « vous plaisantez », « Perdez-vous la tête ? » .

III- L’opposition de deux systèmes de valeur : la civilisation humaine et l’animalité

A – La perte d’humanité

Jean symbolise des valeurs propres à l’animal : agressivité, dureté, force. Il rejette en bloc la civilisation humaine : « Démolissons tout cela ! » ; « L’homme…ne prononcez plus ce mot » .

A la politesse de Bérenger (« Mon cher Jean », « Je ne peux tout de même pas le laisser comme cela, c’est un ami » ), s’oppose la dureté de Jean (« Vous êtes un vieux sentimental ridicule » ).

A la fin de l’extrait, Jean perd définitivement tout sentiment d’amitié ou d’empathie : « je te piétinerai » .

La personnalité même de Jean se trouve dégradée puisqu’il ne semble plus avoir de notion de pudeur : « Il fait tomber le pantalon de son pyjama ».

Bérenger ne reconnait plus la personnalité de son ami, et le constate dans des phrases à double sens :

♦ « Je ne vous reconnais plus » peut renvoyer à la fois à un changement moral et à un changement physique.
♦ « Oh vous semblez vraiment perdre la tête ! », prononcée juste après l’apparition de la corne de rhinocéros, joue sur le double sens de l’expression.

B – L’emploi d’une rhétorique totalitaire

Bérenger en appelle plusieurs fois à la raison de Jean (« Réfléchissez » ).  On retrouve dans ses répliques le champ lexical de la pensée : « Réfléchissez », « vous vous rendez compte », « philosophie », « pensée profonde », « l’esprit ».

Jean, quant à lui, fait appel à une rhétorique totalitaire et autoritariste qui balaye les arguments inverses en leur opposant des affirmations brutales et figées : « L’humanisme est périmé ! ». L’idée d’utiliser la raison et l’esprit est rejetée comme absurde : « Des clichés ! Vous me racontez des bêtises ! »

Le refus de Jean de dialoguer et de raisonner, associé à sa brutalité, son agressivité et ses menaces en font l’exemple parfait d’une personne déshumanisée et qui a sombré dans le totalitarisme.

Rhinocéros, la métamorphose de Jean : Conclusion

Ainsi, c’est à travers une théâtralité très forte que Ionesco montre le basculement progressif d’un personnage qui passe de l’humain à l’animal.

Il commence par voir disparaître ses facultés à communiquer puis perd peu à peu la maîtrise de son corps et sa propre personnalité pour verser dans un système de valeurs qui, à l’image des totalitarismes, glorifie la force brute contre la réflexion et l’intelligence.

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Amélie Vioux

Je suis professeur particulier spécialisée dans la préparation du bac de français (2nde et 1re).

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18 commentaires

  • bonjour, pour les questions possibles à l’oral le plan correspond avec toute les questions ou non? car j’ai du mal à refaire un plan. Merci beaucoup pour votre site.

  • Si certains cherchent une ouverture j’ai pensé à Matin brun de Franck Pavloff. C’est une nouvelle ayant un sujet similaire à celui de Rhinocéros. Il montre la mise en place d’un régime totalitaire.

  • Bonjour,

    Après lecture de l’analyse,je me demandais si, si la question posée par l’examinateur est « quels sont les deux systemes de valeur qui s’opposent dans ce texte », il fallait seulement parler de la troisième partie que vous avez faite dans le plan du commentaire ? Dans ce cas, l’exposé risquerait de ne pas durer 10 minutes ? Et il n’y aurait pas de sous parties ?

    Merci!

    • Non, il faut conserver toutes les parties en supprimant peut être des petites choses,2 mais renomme les parties, et place celle qui te semble le plus impt en derniere ou deuxième

  • est ce qu’on pourrait pas analyser cette extrait comme une perte de son humanité ou plutôt le classée dans l’humanisme à l’image de Montaigne dans le chapitre 31 de ses Essais ou Ionesco voudrait un retour à l’état naturel et pure

  • J’ai une question : à l’oral, pendant la lecture, faut-il prononcer les « Brrrrr » ? Parce que ça fait un peu bizarre et ça peut mettre mal à l’aise :/

  • Bonjour merci beaucoup pour cette magnifique analyse, cependant je m’embrouille beaucoup avec le théâtre de l’absurde comme dan cette pièce, et l’absurde dans l’Etranger quel sont les différence?
    merci d’avance, et merci pour vos commentaire ainsi que vos videos

  • D’abord, merci beaucoup pour ce commentaire, c’est très utile et c’est adorable de le mettre sur internet pour en faire profiter tout le monde
    Je voulais savoir, pour la phrase « Des siècles de civilisation l’ont bâti », est-ce qu’on peut parler de personnification? Ou est-ce que c’est une autre figure de style?

  • Bonjour, merci pour cette analyse qui a été un véritable support pour mes fiches de français.
    Toujours qualitative, et régulièrement en 3 parties, ce que je préfère.
    Seul bémol,il n’y a pas d’ouverture. Et pour ce texte trouver une ouverture est difficile…

  • Merci beaucoup car beaucoup de gens ne savent plus ce qu’est la politesse. C’est tout ce qui fait ou fera la différence : des mots justes pour des remerciements enthousiastes, chaleureux ou neutres…

    Passons c’est maintenant que j’avais choisi de vous de les remercier pour leur geste. Vous allez me dire comment?
    J’avais pensé à écrire une lettre (bien entendu le meilleur moyen pour remercier quelqu’un) mais impossible de vous écrire car je ne vous connais pas et donc je ne peux pas avoir adresse. Mais trouver les bons mots n’est pas toujours évident.
    Or j’ai trouvé une idée encore plus efficace pour exprimer ce que je resens:
    Madame, grâce à votre généreuse contribution s’est merveilleusement satisfait de cet l’événement (votre site) qui a rencontré un vif succès. Votre aide est pour beaucoup dans cette réussite et je tiens aujourd’hui à vous témoigner toute la reconnaissance et de la générosité de flux d’informations. Avec mes sincères et chaleureux remerciements,mes salutations distinguées je veux m’exprimer :SUR CE SITE QUI M’A PERMIS CLAIREMENT DE VOIR,DES GENS COMME VOUS ET MOI QUI SAVENT QUE POUR DONNER UN « COUP DE POUCE » à DES éLèVES DéBORDés ( CAR CERTAINS DONNER DU BOULOT ALORS QUE ON N’A MêME PAS FAIT 5 MINUTES DESSUS PUIS LE FAIRE EN SI PEUX DE JOURS;C’EST SCANDALEUX !!!). Cependant comme dit FRANçOIS GASTON DE LEVIS: « L’ennui est une maladie dont le travail est le remède, le plaisir n’est qu’un palliatif ».

  • Bonjour Amélie,
    J’ai regardé la vidéo sur l’adaption du plan en fonction de la problématique à l’oral et je me demande comment adapter ce plan pour la troisième pbtiq: « décrivez les étapes de la transformation de Jean ». Doit-on faire une lecture linéaire ?

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