Dissertation sur La Princesse de Clèves

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dissertation sur la princesse de clèvesVoici un exemple de dissertation niveau bac de français sur La princesse de Clèves de Madame de la Fayette.

Tu peux lire ici des exemples de dissertations sur les autres œuvres au programme de l’EAF.

Sujet sur La Princesse de Clèves :

Faut-il qu’un personnage de roman soit admirable pour intéresser le lecteur ?

Vous répondrez à cette question en vous fondant sur votre connaissance de l’œuvre La Princesse de Clèves de Mme de La Fayette, des textes étudiés pendant l’année ainsi que sur vos lectures personnelles.

Indications préalables :

Il s’agit d’une question fermée (on peut répondre par oui ou par non) : je m’oriente donc vers un plan dialectique.

Remarque toutefois que je ne tombe pas dans les pièges du plan dialectique. Mes parties ne se contredisent pas et ma troisième partie n’est pas un « juste milieu » de la thèse et l’antthèse : c’est au contraire une solution originale qui ne répète pas les parties précédentes.

Bien que ce sujet soit étroitement lié au roman de Madame de La Fayette, prends soin de mobiliser d’autres œuvres pour varier tes exemples.

Ainsi, dans cette dissertation, seulement un tiers de mes exemples sont issus de La Princesse de Clèves. Les autres exemples doivent être issus des textes étudiés en classe ou de tes lectures personnelles.

Dernier point : pour faciliter ta lecture, je propose sur cette page des titres apparents et j’utilise des couleurs. Le jour du bac de français, ta dissertation doit être intégralement rédigée.

Introduction

Georges Simenon dit du personnage de roman : « Le personnage de roman, c’est n’importe qui dans la rue mais qui va jusqu’au bout de lui-même ». Le romancier suggère à travers cette phrase toute l’ambiguïté du personnage romanesque, à la fois banal et suffisamment admirable pour captiver le lecteur et l’entraîner dans une histoire. [Accroche ou amorce]

Mais faut-il toujours qu’un personnage de roman soit admirable pour intéresser le lecteur ? Le personnage de roman ne peut-il être intéressant que s’il est admirable, exceptionnel ? [Problématique]

Nous verrons que le lecteur s’intéresse effectivement aux personnages admirables (I) mais que les personnages ordinaires suscitent aussi son intérêt (II). N’est-ce pas en réalité les représentations de l’homme dans toute sa complexité que le lecteur aime retrouver dans les personnages de roman ? (III) [Annonce de plan]

I – Un personnage admirable est un objet d’intérêt pour le lecteur

A – Héritier des épopées aux héros exceptionnels, le personnage de roman suscite l’admiration car il se distingue de l’humanité ordinaire par des qualités physiques ou morales exceptionnelles.

Exemple :

La Princesse de Clèves, Madame de la Fayette : Madame de Chartres est un modèle de vertu et transmet de hautes valeurs morales à sa fille. La Princesse de Clèves est un personnage hors du commun : sa beauté exceptionnelle et sa vertu qui suscitent l’admiration de la Cour, sont admirables aussi pour le lecteur parce que ses qualités ne sont pas l’apanage du commun des mortels.

Le mystère de la chambre jaune ou Le parfum de la dame en noir de Gaston Leroux : Joseph Rouletabille est un journaliste doué d’un talent de détective hors norme. Dans les romans policiers de Gaston Leroux, il suscite l’intérêt du lecteur car il se montre supérieur aux inspecteurs de police traditionnels en résolvant des énigmes complexes.

B – Les personnages admirables suscitent l’intérêt car ils élèvent le lecteur

– Le personnage admirable est un modèle qui inspire le lecteur.

Exemples :

La Princesse de Clèves, Madame de La Fayette : La vertu de la Princesse de Clèves est mise à l’épreuve par la passion qu’elle éprouve pour le Duc de Nemours. Malgré des moments de galanterie et de complicité, la Princesse de Clèves résiste à la tentation de l’adultère et parvient à réprimer ses inclinations. Cette lutte victorieuse dépeint le caractère exceptionnel de la Princesse de Clèves qui résiste au péché et à la faute. Sa vertu constitue un exemple admirable pour le lecteur.

Mémoires d’Hadrien, Marguerite Yourcenar : Lorsqu’il prend la tête de l’Empire romain, Hadrien fait preuve de tempérance et de prudence en pacifiant le royaume. Il mène une politique de sagesse et de mesure loin de la politique conquérante de Trajan. Sa recherche de paix, de vérité et de connaissances est digne d’admiration pour le lecteur.

C – Les personnages admirables sont plus à même d’entraîner le lecteur dans des histoires captivantes

– Les personnages aux destinées exceptionnelles permettent le récit d’histoires captivantes qui offrent au lecteur des moments d’évasion.

Exemple :

Le Comte de Monte Christo, d’Alexandre Dumas : Edmond Dantès est un personnage fascinant qui entraîne le lecteur dans une histoire exceptionnelle : emprisonné à tort au Château d’If à Marseille pendant quatorze ans, le héros parvient à s’évader, trouver un trésor et se venger de ceux qui l’ont fait enfermer. Un tel personnage emporte le lecteur dans une histoire captivante.

II – Mais le lecteur s’intéresse aussi aux personnages ordinaires

A – Parce qu’ils nous ressemblent, les personnages ordinaires favorisent l’identification et provoquent l’empathie.

Exemple :

La Chartreuse de Parme, Stendhal : Fabrice del Dongo est un héros passif aux qualités peu héroïques. Sur le champ de bataille de Waterloo, il est apeuré et  » scandalisé de ce bruit qui lui faisait mal aux oreilles ». Le maréchal des logis le traite même de « blanc bec » sans que cela ne fasse réagir le jeune héros. Mais sa peur et sa maladresse le rendent attachant et proche du lecteur.

B – Le personnage ordinaire est un miroir de la société

– Un anti-héros intéresse aussi le lecteur car il donne à voir la médiocrité de la société.

– Les personnages de roman du XXème siècle ou du XXIème siècle se caractérisent ainsi souvent par leur médiocrité ou leur insignifiance.

Exemple :

Sérotonine, Michel Houellebecq : Le personnage Florent-Claude Labrouste est submergé par la dépression. Il n’est admirable en rien, enfermé dans un métier ennuyeux consistant à rédiger des notes techniques pour le ministère de l’Agriculture. Mais ce personnage devient un miroir de notre société post-moderne, en mal d’inventivité et d’énergie vitale.

C – La proximité avec le personnage permet au lecteur de se sentir plus concerné par le message de l’auteur

Exemple :

L’éducation sentimentale, Flaubert : le personnage principal Frédéric Moreau et son ami Deslauriers font face à la déception à la fin du roman : le temps a passé, et eux qui étaient plein d’entrain et d’espoir, font un bilan médiocre de leur vie car leurs rêves ne se sont pas réalisés. Flaubert montre au lecteur que la politique, les révolutions (celle de 1848 en l’occurrence), les amours, la réussite ne sont que du vent et du néant.

III – Ce qui intéresse surtout le lecteur, c’est que le personnage de roman est une représentation de l’homme dans toute sa complexité

A – Dans le roman réaliste et naturaliste, le personnage de roman vise à donner une image fidèle de la réalité.

Exemple :

Une vie, Maupassant : Le lecteur suit la vie de Jeanne, jeune aristocrate qui va de désillusions en échecs. Jeanne est une femme plutôt insignifiante qui est avant tout le produit de son milieu. A travers son itinéraire, Maupassant observe et étudie la condition de la femme au XIXème siècle. Le personnage est une image la plus fidèle possible de la réalité.

B – Le personnage de roman se construit au fil de la narration

– La personnalité du personnage de roman évolue au cours du récit de la même manière que l’être humain se construit et évolue au fil de sa vie. C’est cette complexité qui intéresse le lecteur car elle fait écho au cheminement complexe des êtres humains dans la vraie vie.

Exemple :

L’Etranger, Albert Camus : Au début du roman, Meursault est un anti-héros passif, plutôt antipathique, renfermé sur lui-même. Mais il évolue tout au long de la narration. A la fin du roman, il devient l’incarnation de « l’homme révolté » contre l’ordre établi de la société, la religion, les juges. Condamné à mort, il fait preuve de lucidité et refuse de se réfugier dans la religion. Cette mutation intérieure le rend pleinement humain et intéresse le lecteur.

C – L’intérêt des personnages de roman est de refléter les différentes facettes de notre âme et de notre personnalité

Exemple :

La Princesse de Clèves, Madame de la Fayette : La Princesse de Clèves est tiraillée entre le péché et la vertu : en analysant tous les mouvements de l’âme de son héroïne, Madame de La Fayette intéresse le lecteur du XVIIème siècle en lui tendant un miroir dans lequel il peut se regarder et s’interroger sur lui-même.

– Les personnages de roman forment un réseau complexe dans lequel chaque personnage incarne un penchant de l’âme humaine.

Exemple :

– La Peste, Camus : Les différents personnages du roman incarnent des réactions possibles face au Mal, illustrant les différentes facettes de notre personnalité. Le Père Paneloux se réfugie dans la religion, voyant la peste comme une punition divine. Cottard tente de se suicider quand le journaliste Rambert cherche tout d’abord à quitter la ville. Le médecin Rieux, quant à lui, fait preuve d’une humanité et d’une solidarité sans faille en soignant les hommes. Ces personnages, lâches ou exemplaires, reflètent les différentes facettes de l’âme du lecteur.

Conclusion :

Le héros de roman n’intéresse pas forcément le lecteur parce qu’il est admirable. Un personnage ordinaire intéresse aussi le lecteur car il suscite l’identification et l’empathie.

En définitive, ce qui intéresse surtout le lecteur, c’est de retrouver dans le roman des personnages qui racontent toute la complexité de l’être humain. [Bilan du raisonnement]

Le personnage de roman est aussi dépositaire du regard de l’auteur sur monde et souvent porteur d’une philosophie. A travers les péripéties de sa vie et les mouvements de son âme, le personnage de roman ne dévoile-t-il pas finalement mieux qu’un texte philosophique les valeurs d’une société et d’une civilisation ? [Ouverture]

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Qui suis-je ?

Amélie Vioux

Professeure et autrice chez hachette, je suis spécialisée dans la préparation du bac de français (2nde et 1re).

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Tu peux également retrouver mes conseils dans mon livre Réussis ton bac de français 2025 aux éditions Hachette.

J'ai également publié une version de ce livre pour les séries Techno ici.

15 commentaires

  • Bonjour et encore merci, je me suis inscrite sur votre site privé pour la préparation à l’oral, ça m’aide vraiment beaucoup.
    Je voulais savoir si cette dissertation rentre dans le thème de cette année pour la princesse de Clèves à savoir : individu, morale et société.
    merci par avance

    • Bonjour, pour te répondre, cette dissertation rentre évidement dans le parcours associé puisqu’il n’y a qu’un seul parcours associé à La Princesse de Clèves, à savoir « Individu, morale et société ». Et même si la dissertation n’amène pas une réflexion sur le parcours en lui-même, la thématique du personnage de roman doit quand-même être étudiée puisqu’elle fait partie de l’objet d’étude pour tous les élèves de première.

  • Bonsoir Amélie,

    Mon professeur de français nous encourage fortement à apprendre par cœur des citations de La princesse de Clèves, cependant j’avoue ne pas savoir comment faire le trie entre les citations qui m’ont beaucoup touchées, celles qui peuvent être importantes ou intéressantes, et celles qui doivent être retenues réutilisées dans une dissertation.
    J’aimerais savoir si vous aviez quelque astuce pour trouver des citations ?

    Merci beaucoup pour tous vos conseils !
    Clara

    • Bonsoir à toi Clara,

      Je me doute que ce message ne m’était pas adressé et qu’il est sûrement tard pour y répondre puisque tu l’as posté il y a environ un an, mais je souhaitais tout de même t’apporter une réponse, ne serait-ce que pour aider d’autres élèves qui pourraient en avoir besoin.

      Pour ma part, notre professeure de français ne nous a pas donné de méthode particulière afin de sélectionner les meilleures citations, cependant elle nous en a donné une dizaine pour la Princesse de Clèves.

      J’espère que cela pourra vous être utile, et dans tous les cas, cela vous donnera un exemple des citations importantes sur une oeuvre, même si ce n’est pas celle-ci que vous avez étudiée.

      Voici donc les citations proposées :

      1. Incipit : « La magnificence et la galanterie n’ont jamais paru en France avec tant d’éclat que dans les dernières années du règne de Henri le second. »

      2. Le portrait de M. de Clèves : « le second (fils du duc de Nevers), qu’on appelait le prince de Clèves, était digne de soutenir la gloire de son nom ; il était brave et magnifique, et il avait une prudence qui ne se trouve guère avec la jeunesse. »

      3. Le portrait du duc de Nemours : « ce prince était un chef-d’œuvre de la nature / l’homme le mieux fait et le plus beau. Ce qui le mettait au-dessus des autres était une valeur incomparable, et un agrément dans son esprit, dans son visage et dans ses actions que l’on n’a jamais vu qu’à lui seul. »

      4. Le portrait de Mme de Clèves : « Il parut une beauté à la cour, qui attira les yeux de tout le monde, et l’on doit croire que c’était une beauté parfaite, puisqu’elle donna de l’admiration dans un lieu où on était si accoutumé à voir de belles personnes. »

      5. Le duc de Nemours : « Monsieur de Nemours ne se faisait qu’un plaisir, et non pas un attachement sérieux du commerce des femmes. »

      6. La Princesse de Clèves et le duc de Nemours au bal : « Ce prince était fait d’une sorte qu’il était difficile de n’être pas surpris de le voir quand on ne l’avait jamais vu (…) mais il était difficile aussi de voir Mme de Clèves pour la première fois sans avoir un grand étonnement. »

      7. Mme de Chartres : « Si vous jugez sur les apparences en ce lieu-ci, répondit Mme de Chartres, vous serez trompée : ce qui paraît n’est presque jamais la vérité. »

      8. Mme de Clèves à propos de sa mère / son mari : « le besoin qu’elle sentait qu’elle avait de sa mère pour se défendre contre M. de Nemours. » / « il lui semblait qu’à force de s’attacher à lui, il la défendrait contre M. de Nemours. »

      9. Mme de Clèves : « elle ne pouvait s’empêcher d’être troublée à sa vue, et d’avoir du plaisir à le voir. » / « elle avait fait une forte résolution de s’empêcher de le voir. »

      10. L’épisode du portrait volé 

      Le duc de Nemours : « Il y avait longtemps que M. de Nemours souhaitait d’avoir le portrait de Mme de Clèves. Lorsqu’il vit celui qui était à M. de Clèves, il ne put résister à l’envie de le dérober à un mari qu’il croyait tendrement aimé. »

      La Princesse de Clèves : « Mme de Clèves n’était pas peu embarrassée. La raison voulait qu’elle demandât son portrait ; mais, en le demandant publiquement, c’était apprendre à tout le monde les sentiments que ce prince avait pour elle, et, en le lui demandant en particulier, c’était quasi l’engager à lui parler de sa passion. »

      Le duc et la Princesse : « M. de Nemours qui remarquait son embarras, et qui en devinait quasi la cause, s’approcha d’elle et lui dit tout bas :
      « Si vous avez vu ce que j’ai osé faire, ayez la bonté, Madame, de me laisser croire que vous l’ignorez ; je n’ose vous en demander davantage. »
      Et il se retira après ces paroles et n’attendit point sa réponse. »

      11. La lettre du vidame de Chartres, perdue au jeu de paume

      La Princesse de Clèves : « Mme de Clèves lut cette lettre et la relut plusieurs fois, sans savoir néanmoins ce qu’elle avait lu. » / « ce mal, qu’elle trouvait si insupportable, était la jalousie avec toutes les horreurs dont elle peut être accompagnée. »
      (notez le danger que représente cette lettre pour le vidame de Chartres comme une intrigue de cour / notez l’intérêt de la méprise de Mme de Clèves pour condamner la passion en décrivant la jalousie).

      12. M. de Nemours caché dans le jardin observe Mme de Clèves 
      « Elle était sur un lit de repos, avec une table devant elle, où il y avait plusieurs corbeilles pleines de rubans ; elle en choisit quelques uns, et M. de Nemours remarqua que c’étaient des mêmes couleurs qu’il avait porté au tournoi. »
      « Elle prit un flambeau et s’en alla, proche d’une grande table, vis-à-vis du tableau du siège de Metz, ou était le portrait de M. de Nemours ; elle s’assit et se mit à regarder ce portrait avec une attention et une rêverie que la passion seule peut donner. »

      13. L’agonie de M. de Clèves 
      M. de Clèves fait surveiller son épouse par un gentilhomme qui lui rapporte la visite nocturne du duc de Nemours. Il est emporté par la fièvre.
      M. de Clèves accuse son épouse « je meurs du cruel déplaisir que vous m’avez donné. » / il refuse de l’écouter « N’en dites pas d’avantage, interrompit M. de Clèves, de faux serments ou un aveu me feraient peut-être une égale peine. » / Mme de Clèves se justifie finalement et il comprend la vérité avant de sombrer « Vous m’avez éclairci trop tard ; mais ce me sera toujours un soulagement d’emporter la pensée que vous êtes digne de l’estime que j’ai eue pour vous. »

      14. L’ultime rencontre entre Mme de Clèves et le duc de Nemours

      15. L’épilogue 
      M. de Nemours : « Enfin, des années entières s’étant passées, le temps et l’absence ralentirent sa douleur et éteignirent sa passion. »
      Mme de Clèves : « et sa vie, qui fut assez courte, laissa des exemples de vertu inimitables. »

      En espérant que ce commentaire a pu en aider certains,
      Bonne journée et bonne chance à tous les lycéens qui appréhendent le bac de français, vous allez y arriver !

      Pascale

  • Bonjour, je n’arrive pas a faire mon introduction ni ma conclusion de ma dissertation. La problématique est : Dans quelle mesure la princesse de Clèves est-elle une héroïne tragique ?

  • Felicitations Amélie pour cette dissertation de Madame de Lafayette. Je passe le bac au mois de juin et cela va beaucoup m’aider, j’ai également acheté ton livre « reussir le bac de francais 2020 ». Petite info pour toi : j’ai 63 ans et je reprends mes etudes. J’espere que la réussite sera au rendez vous. Encore une fois merci. Cordialement, Roseline

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